Comment vous comportez-vous en cas de désaccord ou de litige avec quelqu’un ? Vous vous planquez par peur de provoquer une embrouille ? Vous acquiescez sans broncher pour esquiver la dispute ? Vous fuyez pour éviter la collision ? Vous faites front face à l’opposition adverse ? Alors que beaucoup pensent que faire profil bas est le meilleur moyen de ne pas envenimer une situation tendue, c’est le fait d’oser affronter un conflit qui empêche le plus souvent la vraie guerre.
Eh oui ! Si l’on vous dit que cacher la poussière sous le tapis est une mauvaise manière de faire le ménage, vous êtes d’accord avec ça, n’est-ce pas ? Vous savez que la crasse n’a pas disparu malgré les apparences ? Vous êtes aussi conscient que plus vous attendrez pour vous en débarrasser, plus l’environnement deviendra sale ? Alors, pourquoi penser autrement lorsqu’il s’agit d’éteindre un début de conflit ? Le principe est pourtant le même : plus vous laisserez traîner le problème, plus la situation se dégradera.
Pas envie d’en arriver à des sommets d’hostilité et d’animosité à cause d’un différend ? Alors, soyez proactif et découvrez immédiatement tout ce qu’il faut savoir pour gérer un conflit naissant… avant que ça dégénère !
Faire face ou déserter : comment réagit-on devant une situation conflictuelle ?
Lorsque nous entrons en conflit avec quelqu’un ou avec un groupe de personnes (famille, équipe, communauté, voisins, etc.), nous n’avons pas tous la même manière de répondre. Selon notre éducation, nos expériences passées, notre personnalité, notre humeur, le contexte, mais aussi le profil de notre opposant, nos réflexes de défense sociale diffèrent. Usuellement, les multiples façons de riposter peuvent être classées en trois catégories :
les réactions de tension (attaque, intimidation, attitude compétitive, fuite, etc.) ;
les réactions de rapprochement (soumission, accommodement, rétractation, séduction, manipulation, justification, recherche de compromis, collaboration, etc.) ;
les réactions d’immobilisation (ignorance, blocage, simulation, etc.).
Ça, c’est la théorie qui permet de comprendre comment chacun fonctionne réellement en cas de litige. Nous pouvons toutefois simplifier l’analyse. Si l’on dézoome un peu, il n’y a effectivement que deux grands chemins face à une situation conflictuelle : regarder le problème droit dans les yeux ou dévier le regard. Quelle que soit votre manière de réagir à la discorde, vous faites donc partie d’une école plutôt que d’une autre : celle des combatifs ou celle des déserteurs. Et autant être clair avec vous, oser affronter un conflit naissant est toujours plus sain que d’opter pour une technique d’évitement !
Reculer face à un litige, c’est laisser le conflit dégénérer en guerre
Dans la vie, l’esquive est un moyen d’éviter les coups. En revanche, ça n’a jamais été une solution pour résoudre un conflit. Prenons par exemple une technique d’évitement communément utilisée lors d’affrontements sportifs : la simulation. Quelle que soit la discipline, quand un athlète fait semblant d’être blessé, d’avoir subi une faute, de ne pas comprendre des décisions arbitrales évidentes, etc., il agace son adversaire, l’arbitre et une partie du public.
En pourrissant la situation, au lieu de combattre avec fair-play, il crée donc une zizanie insupportable. De quoi se mettre un paquet de gens à dos ! S’il persiste dans son comportement, le ton montera et l’énervement se fera vivement sentir de chaque côté. Alors qu’il s’agissait au départ d’une simple confrontation sportive, les événements vont ainsi prendre une mauvaise tournure pour se transformer en combat hostile. Au quotidien, c’est pareil ! Toutes les techniques pour éviter d’affronter un conflit risquent de tourner au vinaigre.
À titre d’illustration, le blocage a quasiment les mêmes effets que la simulation, à savoir une dégradation rapide de la situation. Pour ce qui est de la fuite, de la soumission, de l’ignorance ou encore de la rétractation, ce n’est pas mieux. Bien qu’elles semblent pratiques, ces approches ne soulagent qu’à court terme. En réalité, ce sont des bombes à retardement ! À moyen terme, elles ont tendance à nourrir la frustration et la rancœur… ce qui mène à un début de guerre froide. À long terme, elles dégénèrent alors en bagarre sans merci avec une grande hostilité.
Enfin, si vous imaginez que la séduction ou la manipulation sont de bonnes réponses pour désamorcer un conflit, détrompez-vous ! La magie finit toujours par s’estomper… sans que le fond du problème disparaisse. Ce jour-là, la déception atteint des sommets et la confiance se rompt totalement. Les conséquences ? Un divorce acté, une guerre ouverte à tous les niveaux, de gros pétages de plomb et une violence parfois démesurée ! Bref, quand on vous dit qu’il vaut mieux oser affronter un conflit naissant, ce n’est pas pour rien !
Oser affronter un conflit naissant, c’est éteindre le feu avant l’incendie
En cas de conflit, cacher le problème, ignorer le malentendu ou se mettre en retrait de la confrontation ne résout rien. Au contraire, ce sont les meilleures façons d’accumuler du ressentiment et de la frustration. De ce fait, une situation conflictuelle non gérée favorise l’ancrage de sentiments négatifs extrêmement puissants dans l’esprit des personnes qui s’opposent. À ce stade de dissension, les braises deviennent trop chaudes pour empêcher l’embrasement. Au moindre souffle, le feu prend rapidement de l’ampleur. Il s’étend ensuite de manière incontrôlable. Finalement, tout s’aggrave pour causer des dommages plus importants à long terme.
Si vous voulez éviter le brasier, la bonne approche est donc de sortir l’extincteur dès que vous sentez l’odeur de la fumée. Pas quand tout crame sous les flammes ! L’histoire de l’humanité a largement prouvé ce principe. De trop nombreux climats de guerre se sont effectivement installés lorsque deux pays ont laissé un simple incident diplomatique se transformer en incendie de plus grande ampleur. Bref, que ce soit dans votre vie personnelle ou professionnelle, n’attendez pas que les choses dégénèrent quand vous avez un souci avec quelqu’un. Tout se joue au début !
Ainsi, si un comportement vous dérange ou si les rapports commencent à se dégrader, armez-vous immédiatement de courage pour mettre les deux pieds dans le plat et dire ce que vous avez sur le cœur. Oui, même si c’est un peu houleux, il faut oser affronter un conflit dès son apparition pour nourrir la relation au lieu de la détruire. Laisser la situation pourrir par crainte d’une petite dispute, c’est prendre le risque qu’elle s’envenime. Et une fois que la querelle est mature, elle devient trop difficile à maîtriser et à calmer, puisque la communication est quasiment impossible.
Régler le différend suffisamment tôt est d’ailleurs dans votre intérêt pour d’autres raisons que l’extinction d’un début d’incendie. En agissant dès la naissance d’un litige, vous pourrez aussi :
mieux comprendre les divergences d’opinions pour débattre sainement et trouver des terrains d’entente mutuellement acceptables à long terme ;
renforcer les relations avec votre opposant en lui montrant que vous êtes prêt à dialoguer et à collaborer dans le respect, malgré votre antagonisme ;
préserver votre santé physique, mentale et émotionnelle en évitant de futures confrontations inconfortables ;
développer des compétences en résolution de problèmes, en gestion des émotions et en communication assertive.
Apprendre à gérer ses émotions : la clé ultime pour aborder les conflits de manière constructive
Une situation conflictuelle est toujours chargée en émotions fortes… et pas forcément les meilleures. Peur, colère, rancœur, frustration, déception, incompréhension, tristesse, stress, etc. : le cocktail est souvent explosif. Fatalement, quand il y a autant de tension et d’ondes négatives dans l’air, les réactions sont impulsives et rarement intelligentes. Elles sont en plus imprévisibles, car l’on peut se retrouver avec :
des individus fiers de nature et capables de toutes les mesquineries pour ne pas perdre la face ;
des personnes blessées dans leur orgueil et désireuses de faire mal en retour pour se venger ;
des gens qui vivent la situation comme une douche froide, qui se braquent pour se protéger et qui ne feront plus aucun cadeau après la désillusion ;
etc.
Évidemment, tout cela est nuisible à une résolution constructive de la querelle. C’est pourquoi il est si important d’apprendre à gérer ses émotions. Réaliser ce travail sur vous-même vous aidera à prendre du recul lorsque vous aurez un différend avec quelqu’un. À même de vous calmer pour réfléchir clairement, vous aurez alors plus d’aisance à oser affronter un conflit naissant dans un esprit ouvert. Quel que soit le litige, vous serez donc en mesure :
de communiquer de manière honnête, empathique et assertive avec votre opposant ;
d’aller au-delà de l’incident pour faire la lumière sur le vrai fond du problème ;
d’écouter les critiques et d’accepter le débat pour lever les éventuels problèmes ou malentendus qui ont pu provoquer la discorde ;
de négocier habilement pour parvenir à des compromis durables et bénéfiques à tous ;
de comprendre quand solliciter l’aide d’un tiers de médiation pour trouver un terrain d’entente.
Oser affronter un conflit : le mot de la fin
Cet article vous a plu ? Après l’avoir lu, vous n’avez plus aucune raison de fuir ou de vous cacher quand vous vous disputez avec quelqu’un. Vous savez désormais qu’oser affronter un conflit naissant est la meilleure manière de désamorcer le risque d’une guerre plus profonde. Alors, prenez votre courage à deux mains et agissez pour régler le problème !
Ce n’est pas facile pour vous ? Dans ce cas, contactez-nous pour en discuter ! À votre écoute et à votre disposition, l’équipe de Moortgat Énergie vous accompagnera pour cultiver votre intelligence émotionnelle et déployer les ressources nécessaires à une bonne gestion et résolution de conflits. Par ailleurs, si vous voulez aller plus loin en matière de développement personnel, pensez à télécharger notre livre blanc pour apprendre à libérer votre potentiel !
À quel point la compétition sportive prépare-t-elle à relever les défis de la vie professionnelle ? La réponse : énormément ! Et pour cause : avec moins de temps morts, ainsi que de réels enjeux à la clé, le sport en compétition est bien plus intense qu’une séance de gym après le boulot ou qu’un foot improvisé entre amis. Si faire de l’exercice est bénéfique pour maintenir un esprit sain dans un corps sain, l’aspect compétitif permet en effet d’apprendre plus rapidement que la moyenne des leçons cruciales en matière de discipline, de maîtrise des émotions, de résilience, d’engagement ou encore de dépassement de soi.
En ce sens, il décuple les capacités physiques, mentales et émotionnelles, mais contribue surtout à mieux équilibrer les batteries d’énergie personnelles. Bref, terrain fertile pour développer un paquet de compétences transposables dans le monde du travail, le sport en compétition est un grand accélérateur vers la maturité professionnelle. De quoi vous aider à bâtir une carrière florissante ! Décryptage.
La compétition sportive, une activité intense… qui fait mûrir à vitesse grand V
Bien plus intense qu’un footing, qu’un peu d’exercice en salle ou que toute activité physique effectuée en loisir, le sport en compétition fait mûrir de manière accélérée. Explications.
La régularité sportive forge le physique, le mental et la gestion émotionnelle
Faire régulièrement du sport est le meilleur moyen de travailler simultanément sa condition physique, son mental et sa gestion émotionnelle. Voici les bienfaits que vous pouvez obtenir en vous exerçant assidûment.
Les bienfaits du sport sur le physique
Pratiqué avec régularité, le sport permet d’entretenir son corps et d’améliorer sa condition physique. Selon la discipline choisie, vous pouvez notamment gagner en endurance, en force, en souplesse, en vitesse, en tonicité ou encore en coordination. Accentuant le rythme cardiaque et offrant une meilleure oxygénation, l’activité sportive muscle aussi l’ensemble de l’organisme. Par conséquent, plus vous vous exercerez régulièrement, plus vous vous protégerez de douleurs chroniques (musculaires, articulaires, etc.) ou de certaines pathologies (maladies, problèmes cardiaques, hypertension, etc.).
Les bienfaits du sport sur le mental
Au-delà de ses vertus sur le corps, le sport est également bon sur le plan psychologique. En effet, s’habituer à répéter les efforts développe l’autodiscipline, tout en favorisant une meilleure maîtrise de la respiration. Quand on apprend à tenir une ligne de conduite et à mieux respirer, on devient alors plus à même de faire face aux situations de panique, de stress ou de pression intense. Sur la durée, pratiquer une activité sportive régulière contribuera donc à vous construire un mental d’acier pour :
rester dans le moment présent et vous recentrer sur vous-même ;
être à l’aise avec ce qui peut vous rendre mal à l’aise ;
garder la tête froide face à la déstabilisation ;
vous reconcentrer dans les moments de doute ;
repousser vos limites face à la difficulté ;
reprendre le dessus quand les choses tournent mal ;
relever la tête quand vous êtes au fond du trou ;
etc.
Les bienfaits du sport sur la gestion émotionnelle
La régularité sportive est enfin bénéfique pour maîtriser ses émotions. Et pour cause : au bout de 30 minutes d’effort physique, la libération d’endorphine (hormones du bonheur) permet d’entrer dans un état de bien-être. Que vous choisissiez une discipline intense pour vous défouler (sport de combat, sport collectif, course à pied, natation, etc.), relaxante pour vous détendre (yoga, gymnastique douce, marche, etc.), amusante pour vous divertir (pétanque, bowling, tennis de table, etc.) ou artistique pour vous exprimer (danse, patinage, gymnastique rythmique, natation synchronisée, etc.), vous pourrez donc évacuer les ondes négatives, les idées noires et les ruminations pour ne plus ressentir de tensions. Au fil du temps, faire de l’exercice vous aidera alors à rester en contrôle.
La compétition discipline et apprend à mieux équilibrer ses batteries d’énergie
Si le sport est parfait pour développer sa condition physique, son mental et sa gestion émotionnelle, le fait d’ajouter une dose de compétition permet de se discipliner, d’apprendre à équilibrer ses batteries d’énergie… et donc de grandir plus vite.
Discipline de vie et éthique de travail : la compétition sportive responsabilise
En compétition, le fait d’avoir des adversaires induit beaucoup plus de sérieux. La discipline et l’éthique de travail sont donc forcées par le contexte. Par exemple, comme il faut une condition physique au top pour espérer obtenir la victoire, on se prépare mieux, on mange mieux, on gère son sommeil comme une ressource, etc. Au fil du temps, un compétiteur sportif apprend alors à se connaître et se responsabiliser plus vite qu’une personne lambda.
C’est particulièrement vrai pour les athlètes de haut niveau qui ont une sorte d’obsolescence programmée et qui doivent soigner leur hygiène de vie pour faire durer leur carrière. Au quotidien, ces individus adoptent ainsi un fonctionnement équilibré et efficient (quasiment millimétré) qui leur permet de mieux gérer leur corps que la moyenne. Ils ont par conséquent une capacité supérieure à se fixer les bons objectifs, à définir les priorités, à savoir par où commencer et à structurer leur organisation pour se perfectionner.
Le sport en compétition, une des meilleures écoles pour devenir maître de ses émotions
Sur le plan de la maîtrise émotionnelle, le sport en compétition ressemble à des montagnes russes. On passe par des moments intenses de joie, de plaisir, de satisfaction ou d’accomplissement… mais aussi de doute, d’inquiétude, de frustration, de déception, de colère, etc. Même si l’on fait tout pour réduire l’incertitude, il y a également des surprises. Elles sont parfois bonnes et parfois mauvaises. L’échec et la réussite sont ainsi les deux faces d’une même pièce : celle du quotidien. Les jours se suivent, mais ne se ressemblent pas. Les entraînements s’enchaînent, mais sont toujours différents, car tout équilibre est précaire dans le sport d’élite.
En fait, ce qui est valable un jour… n’est pas valable le lendemain ! Tout peut basculer tellement vite pour des éléments qui dépendent soit de nous (condition physique moins bonne, préoccupations intellectuelles, doutes, tensions, frustrations, excès de confiance, etc.), soit de notre environnement (contexte difficile d’un club, nouveaux venus sur le circuit, calendrier sportif trop chargé, staff défaillant, problèmes financiers, etc.) Bref, la liste est longue ! En conséquence, apprendre à serrer les dents, se remette en scelle malgré les échecs et les défaites, rester alerte dans la victoire : cela se surveille comme le lait sur le feu, car tout peut déborder… à n’importe quel moment.
Forcément, grâce à ce genre d’expérience qui bouscule en permanence les sentiments, un compétiteur sportif apprend rapidement à comprendre et gérer ce qu’il ressent. Il perçoit aussi plus facilement l’atmosphère ambiante et ce qu’il se passe dans l’esprit des autres (notamment ses adversaires). Mature et équilibré dans son intelligence émotionnelle, ce type d’athlète met alors moins de temps à switcher et parvient généralement mieux à transformer l’énergie négative en énergie positive.
Résilience, dépassement de soi, capacité de réflexion, etc. : des qualités mentales décuplées par la compétition sportive
Le monde de la compétition sportive est impitoyable. Confronté à des épreuves ardues et à des adversaires morts de faim, il faut savoir viser haut, maintenir un rythme constant d’activité, travailler en équipe (même dans les sports individuels) et ne jamais rester sur ses acquis. C’est indispensable pour atteindre le sommet et déjouer la concurrence ! En parallèle, il est aussi nécessaire de conserver suffisamment de relâchement pour garder le feu sacré et ne pas exploser.
D’un point de vue psychologique, la vie de compétiteur ou de compétitrice est donc un accélérateur de résilience, de dépassement de soi, de persévérance, de courage et de cohésion de groupe. En plus de façonner l’esprit combatif, résilient et collectif, c’est également un raccourci pour affiner la capacité de réflexion et déconstruire les croyances limitantes. Challengé et bousculé en permanence, on apprend effectivement vite à :
Sur la durée, ce conditionnement fait que l’on a souvent moins de mal à puiser dans ses ressources mentales, à maintenir son cerveau en éveil, à s’adapter aux circonstances, à se mettre dans une logique d’apprentissage continu, à créer des schémas gagnants et à se fondre dans une dynamique de groupe. D’autre part, les victoires obtenues dans un contexte à enjeu alimentent la confiance en soi et la motivation. Avec plus d’assurance et d’engagement, on booste alors autant ses capacités de proactivité que de réactivité pour ne jamais tomber dans la passivité. Au quotidien, tout cela est finalement bénéfique pour :
Une maturité professionnelle accélérée… grâce au sport en compétition
Dans le monde du travail, les ressources physiques, mentales et émotionnelles décuplées à vitesse grand V par le sport en compétition permettent d’atteindre plus rapidement la maturité professionnelle. Explications.
Le sport en compétition au service de la performance professionnelle
Si vous pratiquez une discipline sportive en compétition, vous serez confronté de manière récurrente à des situations intenses. Rapidement, vous développerez donc des aptitudes supérieures à la moyenne :
des capacités physiques façonnées pour tenir un rythme soutenu ;
des émotions maîtrisées pour rester en contrôle, quelles que soient les circonstances ;
un mental de champion pour provoquer la réussite et remplir les objectifs fixés.
Dans l’univers du travail, dont celui du business qui est comparable à un sport de combat, ces ressources surdéveloppées feront une grande différence et pourront facilement être mises au service de la performance. En effet, il y a énormément de points communs avec le sport en compétition. Nous pouvons mentionner la planification, les objectifs à enjeux, les victoires et les défaites, la responsabilisation, la gestion du stress, l’innovation ou encore l’importance de l’esprit d’équipe, mais c’est quasiment tout le contexte qui est similaire. Par exemple :
convaincre un client, c’est comme gagner un match ;
décrocher un appel d’offres, c’est comme remporter un tournoi ;
réaliser un chiffre d’affaires historique, c’est comme battre un record ;
élaborer un plan d’action commercial, c’est comme construire une tactique de jeu ;
manager des collaborateurs, c’est comme coacher une équipe ;
se former pour monter en compétences, c’est comme s’entraîner pour développer sa palette technique ;
etc.
Face à de telles concordances, vous comprenez mieux pourquoi celles et ceux qui sont habitués à la compétition sportive partent avec un avantage pour atteindre plus vite la maturité professionnelle. C’est tout simplement la vie d’entreprise en accéléré !
20 aptitudes professionnelles clés boostées par la compétition sportive
En fin de compte, qu’elle soit amatrice ou de haut niveau, la compétition sportive ne permet pas uniquement de progresser en tant qu’athlète. Source d’apprentissage pour se forger une excellente forme physique, une solide maîtrise émotionnelle et un mental d’acier, cette grande école de vie est un accélérateur vers la maturité professionnelle. Pour conclure cet article, refaisons donc la liste des 20 aptitudes boostées par le sport en compétition et pouvant être particulièrement bénéfiques dans le monde du travail :
l’autodiscipline ;
l’éthique de travail ;
le self-control ;
la gestion du stress ;
la responsabilisation personnelle ;
l’efficience (optimisation du temps et de l’énergie) ;
la capacité à fixer les bons objectifs ;
la faculté à prioriser les actions ;
la résilience ;
le fighting spirit (dépassement de soi, persévérance et courage) ;
la confiance en soi ;
la proactivité ;
la réactivité ;
la capacité d’analyse ;
l’esprit critique ;
la créativité ;
l’apprentissage continu ;
l’esprit d’équipe ;
l’adaptabilité ;
la prise de décision rapide.
Sport en compétition & maturité professionnelle : le mot de la fin
Cet article vous a plu ? Maintenant que vous avez compris en quoi le sport en compétition est un grand accélérateur vers la maturité professionnelle, ne fuyez plus les affrontements sportifs à enjeux ! Par ailleurs, si vous souhaitez exploiter au travail les compétences que vous avez acquises grâce à la compétition sportive, Moortgat Énergie se tient à votre disposition pour vous accompagner avec des outils de coaching de sportif d’élite. Alors, contactez-nous pour en discuter ! Enfin, si vous voulez aller plus loin en matière de développement personnel, téléchargez notre livre blanc pour apprendre à libérer votre potentiel.
C’est une bonne nouvelle ! Selon le baromètre 2023 du sport en entreprise, publié par Harmonie Mutuelle à la suite d’une étude réalisée avec Amaury Sport Organisation et l’institut du CSA, 91 % des personnes salariées en France estiment que faire de l’exercice favorise leur bien-être. Si ce chiffre est réjouissant, c’est parce qu’avoir conscience des bienfaits du sport sur la santé physique, mentale et émotionnelle est le premier pas pour se mettre à bouger de manière régulière.
En revanche, énorme décalage concernant la culture du sport au travail : alors que 78 % des mêmes individus sont prêts à prendre sur leur temps de loisirs pour participer aux activités sportives organisées par leur employeur… uniquement 20 % des sociétés proposent cela. En la matière, nous sommes ainsi à des années-lumière des pays nordiques et du fonctionnement de l’entreprise Björn Borg ! Pourquoi et comment s’inspirer des modèles suédois, danois ou finlandais pour ancrer une vraie philosophie sportive dans son quotidien professionnel ? Décryptage.
Le sport au travail, une pratique bénéfique pour la santé, la productivité et la créativité
En milieu professionnel, pratiquer régulièrement une activité sportive est l’un des leviers les plus puissants pour rester en bonne santé physique, mentale et émotionnelle. Apport en oxygène et en nutriments dans les muscles, meilleure circulation sanguine, stimulation du système nerveux, production accrue de globules blancs ou encore libération d’endorphines (aussi appelées hormones du bonheur) : les bienfaits du sport sont multiples ! Concrètement, les bénéfices se traduisent par :
Vous l’aurez donc compris : que vous soyez salarié d’une entreprise ou indépendant, vous gagnerez beaucoup en intégrant le sport dans votre planning professionnel. Au-delà de soigner votre qualité de vie au travail, vous serez globalement moins sujet aux douleurs musculaires ou articulaires, aux épuisements mentaux et aux maladies en tout genre. Si vous faites de l’exercice régulièrement, vous enclencherez par conséquent un cercle vertueux en devenant plus énergique, serein, efficace et productif dans le cadre de vos missions.
Mais ce n’est pas tout ! Dénouant les tensions, évacuant la pression et libérant le cerveau, la dépense physique est également un excellent carburant pour la créativité. Si vous incorporez des sessions sportives à votre routine professionnelle, vous pourrez ainsi vous ouvrir de nouveaux chemins de pensée et développer davantage d’idées fraîches. Alors, misez sur la culture du sport au travail… et n’hésitez pas à la partager avec des collègues ou des confrères ! Le sport collectif est en effet idéal pour :
apprendre à travailler ensemble ;
dynamiser la cohésion de groupe ;
créer du lien social ;
développer son réseau.
Björn Borg, une source d’inspiration en matière de culture du sport au travail
Six fois vainqueur de Roland-Garros et cinq fois vainqueur de Wimbledon, Björn Borg est l’un des plus grands joueurs de tennis de l’histoire et plus globalement une légende du sport. Le champion suédois a toutefois d’autres faits d’armes à son actif. En 1989, il fonde une marque de vêtements à son nom. Et quand une entreprise s’appelle Björn Borg, la culture du sport au travail est forcément présente.
Chaque vendredi soir, les employés se rendent effectivement dans un centre sportif de Stockholm pour suivre une heure d’entraînement obligatoire. Le but ? Développer la cohésion des équipes et maintenir les collaborateurs en forme afin de renforcer la productivité individuelle et collective au sein du groupe. Le discours d’Henrik Bunge, PDG actuel de la société, est d’ailleurs très clair : « Si on ne veut pas faire de sport et être intégré à la culture de l’entreprise, on s’en va ! » Bref, personne n’est exempté, pas même la direction !
De quoi donner envie aux salariés de claquer la porte ? Pas du tout ! C’est plutôt l’inverse. Chez Björn Borg, l’initiative est appréciée. En interne, chacun est convaincu que la séance de sport hebdomadaire est bénéfique pour améliorer son bien-être personnel, mais aussi rapprocher les équipes. Face à un tel plébiscite, vous comprenez maintenant mieux quel serait l’intérêt d’inscrire une activité sportive régulière dans votre quotidien professionnel. Alors, inspirez-vous-en !
Les pays nordiques, rois de la culture du sport en entreprise !
Si l’instauration d’une séance d’entraînement hebdomadaire trouve autant d’échos positifs chez Björn Borg, ce n’est pas uniquement parce que la société porte le nom d’un grand athlète. C’est principalement car les pays d’Europe du Nord ont une forte culture sportive. Là-bas, il y a une éducation sérieuse au sport et une énorme promotion de ses bienfaits auprès des citoyens. Vous l’aurez donc compris : c’est ce point qui fait la différence ! Quand 92 % des Finlandais, 88 % des Suédois et 81 % des Danois déclarent pratiquer une activité sportive… contre seulement 45 % des Français, selon l’Eurobaromètre 2022 du sport et de l’activité physique, on ne peut pas parler de hasard.
Pays de Bjôrn Borg, mais aussi d’Armand Duplantis, Carolina Klüft ou Zlatan Ibrahimović, la Suède est réputée pour son culte autour du bien-être, de l’effort et de la forme. Berceau de la légende des Jeux olympiques, Paavo Nurmi, ainsi que d’une flopée de champions du monde de F1, la Finlande investit massivement dans les installations sportives depuis plusieurs décennies. Le Danemark, royaume du vélo avec ses 12 000 km de pistes cyclables et son multiple vainqueur du Tour de France, Jonas Vingegaard, héberge de son côté le siège de l’Association internationale pour le sport et la culture (ISCA).
En Scandinavie et dans les autres états nordiques, la culture du sport au travail est donc une évidence, car faire de l’exercice est une philosophie partagée par toute la population. Ainsi, les entreprises suédoises et finlandaises subventionnent largement les activités sportives pour leurs collaborateurs, tandis que les associations de sport d’entreprise sont légion au Danemark. Dans la même logique, les employeurs de ces pays font naturellement l’effort d’aménager le temps de travail et les locaux pour faire de la place au sport.
À titre d’information, Peder Bisgaard, président de la Fédération Danoise du Sport d’Entreprise est d’ailleurs intervenu à Bordeaux, le 15 juin 2023, lors de la première conférence Move at Work organisée en parallèle des Jeux Européens du Sport d’Entreprise pour échanger sur le sujet « inciter les entreprises et leurs équipes à adopter des modes de vie actifs ».
Comment s’inspirer des modèles nordiques pour ancrer l’activité sportive dans son quotidien professionnel ?
Même si la philosophie évolue, notre culture du sport au travail n’est pas aussi poussée que celle des Suédois, des Finlandais ou des Danois. Les chiffres du baromètre 2023 du sport en entreprise sont là pour le prouver. En revanche, ce n’est pas une raison pour se laisser aller ! À votre échelle, vous pouvez vous inspirer des pays d’Europe du Nord pour prendre du plaisir à suer et inscrire l’activité sportive dans votre quotidien professionnel.
Pour commencer, n’hésitez pas à rejoindre les groupes sportifs, voire les associations sportives, de votre entreprise. Intégré au collectif, il est plus facile de garder la motivation et d’installer une dynamique de l’effort. Faire de l’exercice n’est pas dans l’ADN de votre employeur ? Alors, n’attendez pas qu’on vienne à vous ! Pourquoi ne pas prendre l’initiative d’organiser quelque chose entre midi et deux ou après le boulot ? Certains de vos collègues seront sûrement intéressés par votre invitation si vous leur proposez :
de faire un foot ou un basket ;
d’aller courir ;
d’effectuer une séance de yoga ;
de vous rendre à la salle ou à la piscine ;
etc.
Vous êtes travailleur indépendant et pas vraiment un grand sportif ? Si vous peinez à vous y mettre seul, sollicitez votre entourage pour trouver un binôme de sport en semaine ! L’autre moyen de vous dépenser physiquement durant vos journées de travail, c’est de modifier certaines habitudes. Pendant votre pause déjeuner, vous pouvez par exemple faire une balade au lieu de traîner sur les réseaux sociaux. Si vous habitez à proximité de votre entreprise, rien ne vous empêche non plus de privilégier la marche ou le vélo pour les trajets.
Bref, il y a un tas de possibilités pour vous bouger et installer des routines sportives dans votre agenda. Alors, cherchez une activité agréable et lancez-vous pour embrasser cette culture du sport au travail !
Culture du sport au travail : le mot de la fin
Cet article vous a plu ? Si vous souhaitez instaurer une dynamique durable de l’exercice physique dans votre quotidien professionnel, l’équipe de Moortgat Énergie se tient à votre disposition pour vous aider. Alors, contactez-nous pour en parler ! Nous serons évidemment ravis de vous accompagner dans le développement de votre culture du sport au travail. D’autre part, si vous avez envie d’aller plus loin en matière de développement personnel, téléchargez notre livre blanc pour apprendre à libérer votre potentiel.
Vous êtes physiquement fatigué après le boulot ? Vous ne faites pas trop attention à vos gestes et postures au travail ? Alors, il est temps de comprendre que les deux sont liés ! Que votre activité soit sédentaire ou mobile, bien vous tenir, vous positionner et vous mouvoir n’est pas une option ou un luxe. C’est vital ! En milieu professionnel, quand on se tient bien, tout va bien. En revanche, les mauvaises postures et les faux mouvements sont préjudiciables pour la santé et responsables de troubles musculosquelettiques aux conséquences handicapantes.
Pas envie de finir avec une douleur chronique au dos, une déchirure musculaire, un problème articulaire ou une autre pathologie physique parce que vous vous tenez mal ou avez effectué un geste maladroit au travail ? Dans ce cas, lisez attentivement cet article ! Il vous aidera à améliorer votre positionnement corporel et votre gestuelle dans le cadre de vos missions !
Quelles différences entre un geste et une posture au travail ?
Dans le monde professionnel, les travailleurs effectuent des gestes et adoptent des postures pour réaliser leurs missions. Gestes et postures au travail sont toutefois deux choses différentes qu’il est nécessaire de bien distinguer avant d’aller plus loin. Place donc aux définitions !
Qu’est-ce qu’un geste ?
Un geste est un mouvement réalisé par une personne pour exécuter ou exprimer quelque chose. Dans le cadre de la gestuelle professionnelle, il peut donc y avoir une volonté :
d’action (porter un carton, taper sur son clavier d’ordinateur, décrocher le téléphone, écrire un SMS, se déplacer, s’étirer, etc.) ;
de communication corporelle (montrer un élément pendant une présentation orale, lever le pouce pour féliciter un collègue, dire oui ou non avec la tête, croiser les bras pour mettre de la distance lors d’une discussion, etc.).
Qu’est-ce qu’une posture ?
La posture est une position physique adoptée par un individu de manière naturelle, volontaire ou contraignante lors de l’exercice d’une activité. Pour faire simple, c’est la façon de se tenir et de placer son corps. Selon le contexte professionnel, on peut retrouver une multitude de postures debout, penchées, assises, appuyées, accroupies, couchées, etc. Au cours d’une journée de travail, celles-ci varient en fonction des tâches que l’on exécute, mais aussi de l’état d’esprit que l’on veut adopter. Pour ce qui est de ce dernier point, nous parlons de poses de pouvoir (ou power poses) aux effets positifs sur le mental.
L’importance de bien se tenir, se positionner et se mouvoir en milieu professionnel
Dans le cadre d’une activité professionnelle, les positions et les actions contraignantes, inconfortables et/ou répétitives sont néfastes pour la santé. Adopter les bons gestes et postures au travail est donc une pratique à prendre au sérieux. Si vous vous tenez mal ou effectuez de mauvais mouvements lorsque vous remplissez vos missions, vous risquez effectivement :
une hausse de la fatigue physique et mentale ;
des troubles musculosquelettiques (TMS), tels que des douleurs au cou, au dos, aux épaules, aux coudes, aux poignets, aux mains, aux genoux, aux chevilles et aux pieds ;
des fractures osseuses ou articulaires ;
des déchirures musculaires ;
etc.
À terme, ces pathologies peuvent entraîner des séquelles plus ou moins lourdes avec une perte de force, une diminution de la mobilité, etc. Les conséquences directes vont ainsi d’une baisse des performances à une inaptitude temporaire ou durable à travailler. Entraînant des arrêts de travail, voire des arrêts maladie, cette situation peut donc devenir extrêmement préjudiciable pour vous… mais aussi pour votre employeur.
Pour rappel, les TMS sont aujourd’hui considérés comme des maladies à caractère professionnel (MCP). Selon l’Assurance Maladie, elles ont augmenté de 60 % depuis 2003 et représentent de loin la principale MCP signalée. Parmi celles-ci, nous pouvons citer le syndrome du canal carpien au poignet ou encore la lombalgie en bas du dos. À ce titre, sachez que pour prévenir les risques concernant l’intégrité physique des travailleurs, la législation liée à la qualité de vie au travail impose aux entreprises de faire suivre une formation « gestes et postures » adaptée aux salariés :
Quels sont les bons gestes et postures au travail ?
Maintenant que vous savez pourquoi il est si important de bien se tenir, se positionner et se mouvoir en milieu professionnel, faisons le point sur les bonnes pratiques à adopter en matière de gestes et postures au travail.
Comment bien se tenir lorsque l’on travaille en position assise ?
Vous passez une grande partie de vos journées en position assise derrière un bureau ou au volant pour des déplacements professionnels ? Voici les gestes et postures que vous devriez adopter dans le cadre de votre travail sédentaire.
Les gestes et postures pour travailler assis au bureau
Quand vous travaillez assis sur votre chaise de bureau, oubliez les mauvaises postures physiques, telles que le dos courbé, les jambes croisées, la nuque pliée, les bras tendus ou le corps avachi. Pour réduire la fatigue musculaire, articulaire et visuelle, mais également favoriser une bonne circulation sanguine, l’idée est de répartir correctement votre poids corporel avec des angles à 90 degrés au niveau des coudes, du tronc, des jambes et des chevilles. Dans cette optique, positionnez-vous avec :
le dos droit et appuyé contre le dossier du fauteuil ;
la tête dans le prolongement de la colonne vertébrale ;
les épaules relâchées ;
les jambes légèrement écartées ;
les cuisses à l’horizontale ;
les pieds à plat au sol ou sur un repose-pied ;
les yeux à une distance de 50 à 70 cm de l’écran en cas de travail sur ordinateur.
Évidemment, ne négligez pas l’équipement ! Pour maintenir une bonne posture corporelle, il vous faut un poste de travail ergonomique. En ce sens, le top reste un siège avec des accoudoirs, un soutien lombaire, ainsi que la possibilité de régler votre dossier, votre assise et votre hauteur pour ajuster le tout à votre morphologie. Bien qu’il soit confortable, ne restez cependant pas dedans toute la journée ! Les positions sédentaires prolongées sont à bannir. Pensez donc à faire des pauses régulières pour vous lever, vous étirer et marcher quelques minutes.
Enfin, concernant la gestuelle, évitez au maximum :
les torsions comme regarder en arrière ou se pencher en avant pour brancher un chargeur ;
les mouvements nerveux comme taper brutalement au clavier ou bouger la souris d’ordinateur dans tous les sens.
Initialement, ces gestes sont déjà à risques, alors inutile de les rendre brusques et répétitifs. Pour vous prémunir de problèmes au poignet, au cou ou autre, privilégiez plutôt la souplesse et la délicatesse dans vos actions !
Les gestes et postures pour les déplacements professionnels
Vous passez beaucoup de temps à conduire sur la route pour le travail ? Afin d’éviter les gestes et postures inadaptés en voiture, respectez les 7 règles suivantes lorsque vous avez des déplacements professionnels à effectuer :
pour empêcher les torsions dorsales, installez-vous dos à l’habitacle et sortez du véhicule en pivotant votre corps vers l’extérieur ;
pour ne pas être entassé ou trop tendu, réglez la distance du siège par rapport aux pédales et au volant de manière à vous retrouver calé au fond du fauteuil avec les épaules qui touchent le dossier, tout en ayant un angle à minimum 90 degrés pour les genoux et à maximum 60 degrés pour les coudes ;
pour vous prémunir des douleurs lombaires et des coxalgies (douleurs de la hanche), réglez l’inclinaison du dossier jusqu’à ce que votre buste soit droit et forme un angle de 90 degrés avec vos jambes ;
pour ne pas ressentir de tensions au niveau des vertèbres cervicales et des épaules, positionnez confortablement l’appuie-tête ;
pour que le bas du dossier soutienne bien votre colonne vertébrale et que votre champ de vision soit idéal, réglez l’assise à la bonne hauteur ;
pour éviter les mouvements répétitifs de la tête et les torsions de la nuque ou du dos, régler correctement vos rétroviseurs ;
pour réduire les gestes brusques, adoptez une conduite souple et gardez les mains sur le volant.
Vous êtes seulement passager ? Cela ne vous dispense pas de bien vous tenir dans votre siège ! Enfin, comme pour le travail de bureau, vous ne devez pas maintenir la posture sédentaire durablement lors de vos déplacements professionnels. Que vous soyez conducteur ou pas, il faut conserver de la mobilité physique. Pensez donc à faire des pauses pour vous lever, vous étirer et marcher quelques minutes toutes les heures et demie si vous avez une longue route à faire. Évidemment, il faudra calculer votre temps de trajet en incluant ces arrêts essentiels !
Quels réflexes adopter en matière de gestes et postures pour le travail debout ?
Vous êtes principalement debout pour effectuer vos missions ? Si vous devez rester statique sur vos deux jambes, les meilleurs réflexes en matière de gestes et postures au travail seront :
de garder le tronc droit avec la tête relevée et alignée par rapport à la colonne vertébrale pour ne pas être trop tassé au niveau des épaules et du dos ;
d’écarter les jambes à largeur des hanches, tout en maintenant une petite flexion des genoux pour bien répartir le poids du corps ;
de fluidifier la gestuelle des bras, des poignets et des mains pour éviter les faux mouvements.
Autre point important : travaillez toujours à hauteur des yeux pour être ni trop cambré ni trop tendu. Par ailleurs, comme vous serez soutenu par vos pieds, optez pour des chaussures plates, légères, confortables et offrant un bon amorti. En cas de déplacements, restez évidemment vigilant… mais ne piétinez pas ! Enfin, si vous avez à vous baisser pour une quelconque raison (ramasser un objet, brancher un câble, etc.), ne vous penchez pas en avant avec le dos courbé. Pour bien vous tenir, il est préférable de plier vos genoux et de vous mettre temporairement en position accroupie. Votre colonne vertébrale sera ainsi droite.
À ce propos, si vous vous baissez pour récupérer quelque chose de lourd, car vous n’avez pas de diable, de chariot ou autre à disposition, utilisez cette même posture en vous plaçant au plus près de l’objet en question. Ce sont maintenant vos cuisses et vos hanches qui doivent travailler. Au moment de soulever la charge, prenez donc appui sur vos jambes et poussez pour vous relever. Afin d’éviter les cambrures et les douleurs dorsales, la bonne attitude est ensuite de garder l’objet lourd collé à votre torse avec les bras tendus le long du corps.
Gestes et postures au travail : le mot de la fin
Grâce à cet article, vous savez désormais ce que l’on entend par « gestes et postures au travail », pourquoi ce sujet est si important, mais surtout comment bien se tenir et se mouvoir en milieu professionnel. Vous voulez approfondir la question de la gestuelle et du positionnement corporel dans le cadre de votre activité ? Alors, contactez l’équipe de Moortgat Énergie pour en discuter ! Par ailleurs, si vous souhaitez aller plus loin en matière de développement personnel, téléchargez notre livre blanc pour apprendre à libérer votre potentiel.
Le chiffre est alarmant : selon l’Anses, Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail, 95 % de la population française adulte se retrouve aujourd’hui exposée à un risque de détérioration de la santé à cause d’un manque d’activité physique ou d’un comportement sédentaire.
Vous passez la majeure partie de vos journées assis sur votre chaise de bureau ? Alors, méfiez-vous ! Même en étant confortablement installé dans le meilleur fauteuil du monde, garder cette posture de manière durable et répétitive est nuisible… car nous sommes génétiquement programmés pour nous lever et marcher. Eh oui ! L’être humain a mis des millions d’années pour devenir bipède et tenir debout sur ses deux pieds. Allant à l’encontre de notre évolution, la sédentarité au travail est donc une mauvaise habitude aux répercussions négatives.
Envie d’en savoir plus pour combattre ce fléau sous-estimé par les employeurs et les travailleurs ? Décryptons le problème et analysons les solutions pour gagner en mobilité dans un contexte professionnel.
Sédentarité au travail : de quoi parle-t-on ?
Par définition, un comportement sédentaire consiste à rester éveillé durablement en position assise ou allongée avec une faible dépense énergétique. De ce fait, on considère qu’une personne est en situation de sédentarité lorsqu’elle passe de longues heures :
couchée dans son lit sans dormir ;
installée dans le canapé pour regarder la TV ;
assis sur une chaise pour travailler ;
etc.
Avec un nombre important de salariés ou d’indépendants qui restent minimum 7 heures derrière un ordinateur, sans compter les temps de trajet assis au volant ou dans les transports en commun pour ceux qui sont présents chaque jour au bureau, le risque de sédentarité professionnelle est donc particulièrement élevé. Réduisant les occasions de se lever de sa chaise, le télétravail a même renforcé le problème chez les individus concernés par cette pratique.
Certains diront qu’ils compensent en faisant du sport ou autre à côté pour rester actif, mais attention à la confusion. La sédentarité au travail se définit uniquement par la conservation d’une posture assise pendant plusieurs heures pour réaliser ses missions professionnelles. Le concept est ainsi différent de celui d’inactivité qui signifie avoir un niveau insuffisant d’activité au quotidien.
Face à ce constat, il faut bien comprendre qu’être physiquement actif à certains moments de la journée (même à forte intensité) n’empêche donc pas le fait d’être sédentaire la plupart du temps.
Quels sont les risques de la sédentarité professionnelle ?
Si les conséquences du manque d’activité physique sont aujourd’hui intégrées par la plupart des gens, les risques liés à la sédentarité au travail ne sont pas encore bien assimilés. Ces derniers sont pourtant inquiétants. Selon, l’ONAPS (Observatoire national de l’activité physique et de la sédentarité), les postures sédentaires prolongées favorisent effectivement le développement :
de maladies cardiovasculaires ;
de diabète ;
de cancers du côlon, de l’endomètre ou du poumon ;
de problème d’obésité ;
d’un état d’anxiété et de dépression.
L’OMS (Organisation mondiale de la Santé) précise, pour sa part, que la sédentarité est un facteur prépondérant de risque de maladies non transmissibles (MNT), mais surtout la quatrième cause majeure de décès prématurés dans le monde. En milieu professionnel, savoir se lever de sa chaise représente donc un enjeu vital. Comme le dit le professeur François Carré, cardiologue et médecin du sport au CHU de Rennes : « Nous sommes programmés pour bouger. Génétiquement, nos gènes ne fonctionnent bien que si l’on bouge ».
En fait, quand nous sommes assis, notre organisme se met au repos. Au-delà de 7 heures par jour, on observe par exemple une augmentation durable de la pression artérielle et de la glycémie. Alors, ne restez pas continuellement assis derrière votre bureau si vous voulez préserver votre bien-être physique, mental… mais également social !
Comment lutter contre la sédentarité au travail ?
Avec les risques encourus, la lutte contre la sédentarité professionnelle doit évidemment devenir une priorité pour les travailleurs. Comment changer son comportement quand on passe la majeure partie de son temps assis sur une chaise de bureau ? Voici les principaux conseils à suivre pour instaurer davantage de mobilité dans vos journées de travail.
Déclencher une prise de conscience sur le problème de sédentarité professionnelle
Difficile de lutter contre la sédentarité au travail sans avoir pris la pleine mesure du problème. De ce fait, la première étape pour combattre ce fléau est de déclencher une réelle prise de conscience sur vos habitudes sédentaires. Même si les entreprises ont pour rôle d’informer, de sensibiliser et d’accompagner leurs collaborateurs sur le sujet, il faut se montrer proactif en tant que travailleur. En ce sens, vous pouvez notamment réaliser des tests comme celui disponible sur le site mangerbouger.fr de Santé publique France.
Effectuer un bilan de santé est également un bon moyen d’évaluer votre niveau de sédentarité professionnelle. En fonction de vos résultats, vous pourrez obtenir des conseils personnalisés pour gagner en mobilité au quotidien. N’hésitez donc pas à vous rapprocher de la médecine du travail, de votre médecin traitant ou d’un professionnel de santé qualifié !
Corriger ses mauvaises habitudes sédentaires au travail
Prendre conscience de ses problèmes de sédentarité au travail, c’est bien. Corriger ses mauvaises habitudes, c’est mieux. En ce sens, réfléchissez aux changements applicables dans votre routine professionnelle et adaptez votre comportement pour gagner en mobilité. Afin d’éviter de rester trop longtemps dans une posture sédentaire, vous pouvez notamment alterner du travail en position assise et des tâches pouvant être effectuées debout. Par exemple, il n’est pas forcément nécessaire d’être sur sa chaise pour passer un appel téléphonique, faire une réunion ou même prendre un café si l’on inclut les pauses.
De manière générale, essayez de vous lever au moins quelques minutes toutes les heures et de marcher davantage. Parmi les petits ajustements faciles à mettre en application, il y a entre autres :
privilégier les escaliers à l’ascenseur ;
vous déplacer pour parler à vos collègues au lieu de leur envoyer un e-mail ;
aller chercher votre repas du midi en marchant au lieu de vous le faire livrer ;
etc.
Se lever du bureau pour prendre des pauses actives et sportives
Pour lutter contre la sédentarité professionnelle, il ne faut pas seulement apporter davantage de mobilité dans son travail. Il est également nécessaire d’intégrer des pauses actives et/ou sportives tout au long de la journée. Ainsi, il est fortement recommandé d’effectuer un minimum de 30 minutes d’activité physique par jour. Vous n’avez pas le temps ? L’excuse ne tient pas ! Il vous suffit de marcher 10 minutes le matin, le midi et le soir pour remplir l’objectif. Évidemment, si vous faites plus, c’est beaucoup mieux.
Une bonne pratique supplémentaire est d’instaurer une routine antisédentarité consistant à vous arrêter de temps en temps pour faire quelques étirements ou exercices physiques d’intensité modérée. Enfin, que ce soit avant d’arriver au travail, pendant la pause du midi ou après le boulot, des séances sportives un peu plus soutenues s’avèreront forcément bénéfiques pour réduire l’impact de vos comportements sédentaires de la journée.
À ce propos, si vous faites partie d’une société ayant développé une culture du sport en interne pour prévenir les risques de la sédentarité en entreprise, n’hésitez pas à participer aux activités proposées comme un cours de gym, un footing ou une partie de foot entre collègues.
Adapter le poste de travail pour favoriser des postures mobiles
Parmi les mesures redoutables pour lutter contre la sédentarité professionnelle, il y a la mise en place de mobilier actif. Une première solution pour adapter votre poste de travail est ainsi de privilégier un bureau assis-debout à un bureau classique avec une chaise. Plus dynamique et permettant de varier la hauteur de posture, ce type d’équipement réduira le temps que vous passerez assis. Pour les plus sportifs, il existe par ailleurs des « walking desk ». Ici, vous serez positionné face à votre bureau tout en étant debout sur un tapis de marche à vitesse réglable.
Fonctionnant sur un principe similaire, il y a aussi la variante du vélo-bureau ou du simple pédalier. Le remplacement de la chaise de bureau par un ballon d’exercices est enfin une autre technique efficace pour favoriser le mouvement et la tonification corporelle. Bref, quelle que soit votre préférence entre ces différentes possibilités, l’investissement sera bon pour rester actif au cours de la journée et prévenir les risques de la sédentarité au travail.
Sédentarité au travail : le mot de la fin
Cet article sur la sédentarité au travail vous a convaincu qu’il était temps d’agir pour apporter davantage de mobilité dans votre quotidien professionnel ? Si vous souhaitez être accompagné pour adopter les bons comportements actifs et garder une routine antisédentarité efficace au bureau, Moortgat Énergie se tient à votre disposition. Alors, contactez-nous pour en discuter ! Enfin, si vous avez envie d’aller plus loin en matière de développement personnel, téléchargez notre livre blanc pour apprendre à libérer votre potentiel.
Vous manquez de détermination pour concrétiser vos projets lorsque les premiers obstacles apparaissent ? Vous devenez vite défaitiste quand les choses se corsent ? Si vous en avez marre d’abandonner à la moindre difficulté et de ne jamais parvenir à vous transcender pour réaliser vos rêves ou remplir vos objectifs, il est temps de développer votre fighting spirit. En effet, la vie ne sera pas toujours clémente et vous offrira peu d’autoroutes vers le succès. C’est même le contraire ! Que ce soit au travail, à la maison, au sport ou ailleurs, vous ferez souvent face à des épreuves ardues. Vous devrez donc lutter pour traverser ces dernières.
Ainsi, comme le chemin vers la réussite est rarement un long fleuve tranquille, avoir un esprit de combativité s’avère crucial pour se sortir de situations compliquées et triompher quand les chances sont infimes. Vous ne vous sentez pas encore capable d’adopter cette attitude de guerrier ? La bonne nouvelle, c’est que vous avez ce super-pouvoir au fond de vous. Il faut juste apprendre à le libérer et à le développer pour vous en servir à bon escient dans vos activités professionnelles, personnelles ou sportives. Comment renforcer son fighting spirit ? Décryptage.
Qu’est-ce que le fighting spirit ?
Le fighting spirit est un état d’esprit de combattant qui pousse à se transcender pour exceller dans un domaine, triompher dans une bataille, vaincre un adversaire ou surmonter de grandes difficultés. Mélange de détermination, d’engagement, de persévérance, de ténacité, de résilience, d’aplomb, de courage et de sacrifice, cette énergie de survie forme davantage une attitude de gagnant qu’un esprit de compétition. Il n’y a donc aucune volonté d’agressivité. On retrouve d’ailleurs quelques similitudes avec le bushido, le code moral des samouraïs, dont le nom japonais se traduit par « la voie du guerrier ».
De manière plus concrète, le fighting spirit se matérialise par le petit effort supplémentaire que l’on décide de réaliser pour se propulser à un niveau supérieur. C’est par exemple :
la série d’abdos que l’on va faire en plus à l’entraînement ;
l’accélération dans la dernière ligne droite alors que l’on est au bout de ses forces,
l’appel de prospection que l’on va passer en plus après une longue journée de démarchage ;
la candidature que l’on va envoyer alors que les 20 précédentes n’ont abouti à rien ;
Vous l’aurez donc compris : que ce soit au travail, en sport ou dans n’importe quelle sphère de la vie quotidienne, ceux qui possèdent cette capacité de gladiateur ne se laissent pas décourager par l’adversité, ne lâchent rien, ne s’avouent jamais vaincus et vont de l’avant quoiqu’il arrive pour remplir leurs objectifs, aussi ambitieux soient-ils. Au lieu de se lamenter face aux échecs et aux difficultés, ils agissent, réagissent, sortent de leur zone de confort et prennent des risques pour réussir. Bref, ils ont la niaque !
D’ailleurs, plus les défis sont grands, plus ils choisissent d’en faire un peu plus pour transformer les obstacles en opportunités. Même quand l’espoir est infime, ces individus continuent donc à se battre, à s’accrocher et à se relever pour réaliser des miracles (qui n’en sont finalement pas). Grâce à cet esprit de combativité, ils prennent conscience de leur potentiel pour faire taire leurs croyances limitantes et surtout croire en eux. Ils parviennent alors à surpasser leurs doutes et à dépasser leurs limites pour :
briser leur plafond de verre ;
déjouer les pronostics ;
réaliser de grandes prouesses.
L’esprit de combativité, c’est inné et uniquement dans la tête ? Pas vraiment !
Deux énormes clichés existent à propos du fighting spirit. Le premier, c’est que l’esprit de combativité serait un trait de caractère inné et exclusif à certaines personnes. Par exemple, ce tempérament de guerrier est systématiquement associé aux Irlandais dans le monde du sport. Notamment aux rugbymans qui obtiennent de superbes victoires collectives en luttant ensemble jusqu’au bout même si le match est mal engagé, les difficultés sont grandes, les chances sont minimes ou les événements extérieurs ne sont pas favorables. C’est certes vrai, mais être animé par le fighting spirit n’est pas réservé aux natifs du pays celte ou à d’autres individus spécifiques. N’importe qui peut acquérir ce super-pouvoir et le développer pour exploiter son potentiel !
La seconde affirmation totalement fausse concernant le fighting spirit, c’est que ça se passe uniquement dans la tête. Si vous pensez qu’il suffit d’avoir un mental d’acier pour posséder cette faculté, détrompez-vous ! Bien plus qu’un état d’esprit de combattant, le fighting spirit est une énergie brute qui nous maintient au cœur de l’action et nous empêche de renoncer quand l’on perd un peu l’inspiration, le plaisir, l’intuition, la passion, le feeling, la technique, la force, etc. Comme la plupart des énergies humaines, le fighting spirit repose donc sur trois batteries : le physique, le mental et les émotions. Il est ainsi aussi bien activable par le corps et les émotions que par le cerveau. De ce fait, si l’on pêche mentalement, on peut compenser avec de bonnes aptitudes physiques ou une bonne capacité à gérer ses émotions pour continuer à se battre et provoquer la réussite.
Comment renforcer son fighting spirit au quotidien ?
Maintenant que nous avons clarifié ce qu’est le fighting spirit et mis en lumière le fait qu’il peut se travailler quand on a du mal à l’exprimer, il est temps d’apprendre à muscler cette attitude de guerrier. Voici les 4 préceptes à suivre pour renforcer son esprit de combativité.
Se lancer des défis pour repousser ses limites
Développer son fighting spirit, c’est d’abord une affaire de conditionnement. Pour renforcer son esprit de guerrier, il faut donc le travailler au quotidien dans chaque sphère de son existence. Sur le plan professionnel, c’est d’autant plus vrai quand on a compris que le business est un sport de combat. Ainsi, que ce soit au boulot, au sport ou dans n’importe quelle activité, lancez-vous régulièrement des défis ! Relever des challenges et en faire toujours un peu plus que prévu vous aidera à réaliser que votre potentiel est plus grand que ce que vous pouvez imaginer.
Davantage conscient de l’étendue de vos capacités grâce à l’accumulation de succès (même petits), vous vous sentirez un peu comme un super-héros. Vous prendrez confiance en vous et deviendrez galvanisé pour triompher. Toutes les conditions seront alors réunies pour vous permettre de vous battre jusqu’au bout et de repousser vos limites malgré les obstacles sur votre chemin. Bref, le développement du fighting spirit repose sur la volonté d’essayer. La tentative est plus importante que le résultat. Par exemple, quel que soit le verdict final, un avocat se forgera plus facilement un état d’esprit de gagnant en acceptant de défendre un client :
dans un dossier complexe ;
lors d’un procès médiatique ;
si la partie adverse est représentée par l’un de ses meilleurs confrères ;
Sortir de sa zone de confort pour apprendre à dompter son stress
Your comfot zone
Le stress est l’un des principaux moteurs de la combativité. Si vous voulez renforcer votre fighting spirit, il faudra donc apprendre à surmonter la pression. Pour cela, le meilleur entraînement sera de sortir de votre zone de confort. En effet, quand l’on fait face à l’inconnu ou à un moment délicat, le corps et l’esprit se mettent en alerte pour se préparer à gérer la situation. Le trac peut alors conduire à trois réactions instinctives :
la fuite ;
l’inhibition ;
l’attaque.
Chez les personnes habituées à se lancer des défis, le niveau de courage a été renforcé. L’adrénaline agit sur eux comme un coup de fouet extrêmement stimulant pour avancer. Ces individus sont donc prêts à se battre. De ce fait, si vous prenez l’habitude de vous challenger, vous parviendrez plus facilement à dompter votre stress pour choisir l’option de la lutte… et muscler petit à petit votre fighting spirit.
Clarifier sa cible pour booster son engagement
Avant de pouvoir, il faut vouloir ! Quand on n’est pas motivé par ce que l’on fait, il est très compliqué de libérer son fighting spirit, car la flamme du winner est totalement éteinte. Même si l’on a appris à repousser ses limites et à dompter son stress, il reste difficile de donner tout ce que l’on a dans le ventre pour atteindre le succès. Par conséquent, si vous souhaitez réveiller le combattant qui sommeille en vous, faites en sorte de toujours viser des objectifs engageants sur les plans physique, mental et émotionnel. Qu’attendez-vous réellement ? Que cherchez-vous à éviter ? Pourquoi est-ce si important ? Les réponses à ces questions doivent vous donner la rage de vaincre !
Dans cette optique, les deux éléments clés seront le sens et la clarté. En effet, en ayant un but ou une vocation qui vous parle et que vous pouvez parfaitement visualiser, vous aurez l’impression d’être en mission. Comme vous avez déjà musclé votre détermination en vous lançant des défis, en sortant de votre zone de confort et en vous habituant au « toujours un peu plus », le fighting spirit sera soutenu. Vous pourrez donc vous recentrer et vous concentrer sur l’essentiel pour obtenir le résultat que vous espérez. Dans le cas contraire, vous manquerez de ténacité et le poids des efforts finira par l’emporter pour vous pousser à l’abandon. Au lieu de libérer votre esprit de combativité, vous adopterez alors une attitude de défaitiste.
Trouver un appui externe pour soutenir son fighting spirit
Le fighting spirit est puissant pour renverser des montagnes, mais il puise énormément dans les batteries physique, mentale et émotionnelle. Si l’on veut le solidifier et le conserver durablement, il est donc nécessaire de trouver un appui externe. Lorsque l’on travaille en équipe, les coéquipiers jouent ce rôle de soutien. Les membres du groupe se portent les uns les autres pour faire face à l’adversité. En agissant ainsi, ils se galvanisent entre eux et comprennent très vite que les réalisations collectives peuvent devenir incroyables. À titre d’illustration, l’histoire du sport regorge d’exemples où une équipe supposée moins forte a fait mentir les pronostics grâce à un esprit de combativité boosté par une énorme solidarité entre les joueurs.
Si vous êtes seul face à vos objectifs professionnels, sportifs ou personnels, la meilleure option pour trouver un appui est de faire appel à une personne extérieure comme un coach ou un entraîneur. Pour soutenir votre fighting spirit et vous rendre combatif à long terme, ce spécialiste vous aidera à :
apprivoiser l’adversité ;
gérer la confrontation au risque ;
contrôler vos pensées et vos émotions ;
faire sauter vos croyances limitantes ;
utiliser votre énergie de la bonne manière (notamment dans les moments clés) ;
prendre la pleine mesure de vos exploits, du chemin parcouru et de votre potentiel.
Fighting spirit : le mot de la fin
Cet article vous a plu ? Si vous souhaitez vous faire accompagner pour développer votre fighting spirit et pouvoir l’exprimer au quotidien dans vos activités professionnelles, personnelles et sportives, Moortgat Énergie est à votre service. Alors, contactez-nous pour en discuter ! Par ailleurs, si vous voulez aller plus loin en matière de développement personnel, téléchargez notre livre blanc pour apprendre à libérer votre pote
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