Gérer la transition générationnelle : inspirez-vous des meilleurs coachs d’équipe sportive !

Gérer la transition générationnelle : inspirez-vous des meilleurs coachs d’équipe sportive !

Comment gérer la transition générationnelle au sein de ses équipes ? Cette question, de nombreux managers se la posent. D’autant plus avec l’arrivée de la génération Z qui bouscule les codes et les habitudes de leurs aînés. Vous faites face à cette problématique ? Et si vous vous inspiriez des meilleurs entraîneurs d’équipe sportive pour relever le défi ?

En effet, au-delà de posséder de solides compétences pour guider un groupe d’athlètes vers la victoire, ces professionnels du collectif développent avec l’expérience de précieux talents de virtuosité et d’ingéniosité pour accompagner la transition entre différentes générations de joueurs. Envie d’acquérir ce savoir-faire unique détenu par Claude Onesta ou encore Didier Deschamps ?

Découvrez en quoi les plus grands coachs sportifs sont des maîtres de la gestion intergénérationnelle, comment ils parviennent à assurer une bonne transmission de flambeau entre les champions expérimentés et les jeunes prodiges de leur effectif, mais surtout quelles tactiques vous pouvez leur emprunter pour réussir une transition générationnelle fluide… au sein de votre propre équipe !

La transition générationnelle, c’est quoi ?

Par définition, la transition générationnelle est simplement le passage de témoin entre deux générations. Il ne s’agit pourtant pas juste d’une étape de transmission comme lors d’un relais 4 × 100 mètres en athlétisme. Au cours de ce processus sociologique et démographique, les jeunes débarquent avec des idées, des valeurs et des méthodes qui peuvent différer de celles de leurs aînés pour des raisons liées :

  • à l’éducation ;
  • aux expériences de vie ;
  • aux avancées technologiques ;
  • aux événements historiques ;
  • etc.

Conduisant souvent à des désaccords, ce choc générationnel peut entraîner des tensions et des conflits entre les générations. Les différences de perspectives permettent toutefois d’ouvrir le débat sur des sujets politiques, économiques, sociétaux, environnementaux, culturels, etc. En ce sens, la transition générationnelle est une source de renouveau et de progrès indispensable pour s’adapter au contexte actuel et relever les défis contemporains.

Modifiant en profondeur les normes, les attitudes, les comportements et les modes de fonctionnement au sein d’un groupe, voire d’une société entière, elle crée ainsi de fait un véritable changement intergénérationnel. Ce phénomène s’observe dans différents domaines, tels que la culture, la politique, la technologie, le sport… et bien évidemment le monde de l’entreprise.

Dans le contexte du travail, gérer la transition générationnelle implique alors de favoriser un bon transfert de connaissances et de compétences entre les aînés et les cadets. Cela induit aussi l’évolution de pratiques professionnelles et de politiques organisationnelles pour répondre aux besoins et aux attentes des nouvelles générations. Enfin, pour que le processus fonctionne, il faut faire en sorte que les jeunes sachent accepter les critiques des anciens… et vice-versa ! Le challenge est donc de taille pour la direction, les managers, les services RH, mais également les collaborateurs.

Les entraîneurs d’équipe sportive, des experts de la gestion intergénérationnelle

Constamment habitués à résoudre des problématiques de rotation de joueurs et d’intégration de nouveaux éléments au sein de leur effectif, les entraîneurs d’équipe sportive disposent d’une expertise supérieure à la moyenne en matière de gestion intergénérationnelle. Explications.

Une équipe sportive, c’est plusieurs générations de joueurs

Dans les sports collectifs, les joueurs commencent leur carrière de plus en plus tôt. À 16 ans, certains sont déjà professionnels et impatients de faire leurs preuves en équipe première. Même s’ils ne sont pas tous aussi prodigieux que Victor Wembanyama, Marine Johannès, Kylian Mbappé ou Antoine Dupont, la plupart restent des graines de compétiteurs. S’ils n’ont pas leur chance rapidement, beaucoup sont ainsi prêts à quitter leur club formateur pour éclore ailleurs.

De l’autre côté, nous avons des vétérans qui prolongent le plaisir jusqu’à la quarantaine… et qui n’ont pas l’intention d’être relégués sur le banc par leurs cadets. Si certains d’entre eux acceptent de jouer les remplaçants, ça peut vite se compliquer quand il s’agit de légendes charismatiques, comme LeBron James, Tom Brady, Nikola Karabatic, Cristiano Ronaldo ou Marta, qui cherchent sans cesse à repousser leurs limites.

Face à ces deux tendances simultanées, les entraîneurs d’équipe sportive doivent donc désormais jongler avec trois, voire quatre générations, au sein d’un effectif composé de gros caractères. De quoi passer maîtres absolus dans l’art de la gestion intergénérationnelle… et par conséquent de la transition générationnelle !

Savoir passer du multigénérationnel à l’intergénérationnel : la force des grands coachs d’équipe sportive !

Exerçant dans un cadre multigénérationnel qui nécessite de la subtilité et une forte habileté de jonglage, les entraîneurs d’équipe sportive développent de solides compétences pour identifier et comprendre rapidement les besoins, les attentes, les envies et les perspectives de chacun. Capables d’analyser finement ces données, ils arrivent à déterminer précisément les valeurs, les sources de motivation, les modes de fonctionnement, les méthodes de communication et les caractéristiques clés des différentes générations d’athlètes qui composent leur effectif.

Grâce à ce savoir-faire, ils peuvent alors trouver des solutions efficaces et efficientes pour assurer une cohabitation saine au sein de leur groupe. Le passage du multigénérationnel à l’intergénérationnel ! Dans leur coaching et leur manière d’encadrer leurs troupes, ils favorisent ainsi un environnement inclusif où la diversité des âges est perçue comme une force, c’est-à-dire où les plus matures apportent une expérience précieuse, un grand professionnalisme et un vrai leadership, tandis que les débutants injectent un vent de fraîcheur avec leur énergie débordante, leur enthousiasme contagieux et leurs idées nouvelles.

Savoir passer du multigénérationnel à l’intergénérationnel : la force des grands coachs d’équipe sportive !

Quand la magie d’une bonne gestion intergénérationnelle finit par opérer, les entraîneurs d’équipe sportive parviennent donc à créer un puissant alliage entre ancienneté et jeunesse. La conséquence directe ? Il devient plus simple de renforcer la cohésion collective… et de gérer la transition générationnelle.

Comment s’inspirer des coachs d’équipe sportive pour gérer la transition générationnelle au sein d’un groupe ?

L’équipe de France de handball qui continue à empiler les titres européens, mondiaux et olympiques malgré les changements de générations, vous pensez que c’est dû au hasard ? Une génération dorée, ça peut arriver. Une deuxième éventuellement. À partir de la troisième consécutive, ce n’est plus de la chance ! On est clairement sur un modèle de réussite en matière de transition générationnelle.

Et pour tous les collectifs qui parviennent à se renouveler sans perdre leur niveau de performance, les principaux ingrédients pour rester au sommet sont généralement les mêmes :

  • une évaluation continue des besoins de l’équipe ;
  • une planification stratégique à long terme ;
  • la mise en place d’un mentorat intergénérationnel ;
  • une communication ouverte et transparente ;
  • un coaching ciblé et adapté.

Est-ce que tout cela est transposable au monde de l’entreprise ? Oui ! Voyons donc ensemble comment s’en inspirer en tant que manager pour gérer la transition entre différentes générations de collaborateurs.

Évaluer en continu les besoins de l’équipe pour planifier stratégiquement la transition générationnelle

Au fur et à mesure que les joueurs vieillissent et que de nouveaux talents émergent, les entraîneurs d’équipe sportive doivent ajuster intelligemment leur groupe. Pour anticiper les changements à effectuer au sein de leur effectif, les coachs évaluent ainsi en continu le niveau et les besoins de leur équipe. À l’ère de la data, ils peuvent facilement obtenir des données précises sur les performances individuelles et collectives. Avec l’aide de leur staff, ils procèdent alors à une analyse approfondie de ces informations pour :

  • jauger objectivement les compétences et les contributions de chaque joueur ;
  • identifier les forces et les faiblesses individuelles, mais aussi collectives ;
  • déterminer les tendances générales au sein du groupe selon les différentes générations.

En fonction des conclusions tirées, les entraîneurs peuvent finalement prendre des décisions éclairées pour planifier stratégiquement la transition générationnelle via des rotations au cours de la saison, ainsi que des ajustements progressifs dans la composition et la stratégie de l’équipe. En entreprise, c’est donc pareil ! Si vous ne voulez pas rater la transition entre chaque génération de collaborateurs, vous avez intérêt à évaluer les performances individuelles et collectives de manière continue. Vous pourrez ainsi :

  • déterminer les besoins de vos équipes ;
  • programmer et effectuer des modifications perspicaces ;
  • faire évoluer graduellement votre groupe à long terme.

Prôner une communication ouverte et transparente pour créer des ponts entre les générations

Au quotidien, les entraîneurs d’équipe sportive sont confrontés à une problématique de taille : gérer l’impatience des plus jeunes, tout en évitant de froisser les plus expérimentés. S’ils ne veulent pas de conflit générationnel, ils doivent alors faire en sorte de ne frustrer personne. Face à ce constat, ils utilisent une communication ouverte et transparente avec leurs joueurs pour :

  • partager les objectifs, les attentes et les stratégies ;
  • éclaircir les rôles et les responsabilités de chacun ;
  • échanger sur les opportunités de développement ;
  • expliquer les changements et les rotations dans la composition d’équipe ;
  • éviter les malentendus et les frictions potentielles entre cohortes de joueurs ;
  • motiver les troupes ;
  • etc.

Par exemple, quand on veut faire accepter aux plus anciens une réduction de leur temps de jeu au profit de leurs cadets, il faut leur démontrer que ce n’est pas un déclassement. Dotés d’un certain égo, ces champions accepteront rarement de cirer un peu le banc, s’ils n’ont pas d’explications qui tiennent la route. La bonne approche est alors de leur faire comprendre que c’est une manière de les préserver pour les grands matchs et de les aider à prolonger leur carrière. Évidemment, cela doit être la vraie raison et non une justification hypocrite.

Avec ce genre de discours clair, précis et honnête, les coachs donnent aux joueurs le sentiment d’être valorisés et respectés, quelle que soit leur ancienneté. Ils parviennent ainsi à optimiser les échanges, la confiance, la compréhension et la cohésion au sein du groupe… mais surtout à construire des ponts entre les générations pour aligner l’ensemble de l’effectif sur une vision commune.

Si vous occupez un rôle de manager en entreprise, inspirez-vous donc des entraîneurs d’équipe sportive pour communiquer de façon franche, mais toujours bienveillante avec vos collaborateurs. Grâce à cela, le respect perdurera, l’entraide sera présente et la concurrence restera saine. De quoi souder les jeunes et les anciens pour gérer la transition générationnelle de manière plus harmonieuse !

Miser sur le mentorat intergénérationnel pour faciliter la reprise du flambeau

Parmi les armes favorites des entraîneurs d’équipe sportive pour créer une forte cohésion de groupe et assurer un excellent passage de témoin entre les leaders expérimentés du vestiaire, les joueurs au prime de leur carrière et les talents émergents, il y a le mentorat intergénérationnel.

Encourageant les joueurs ayant du métier à transmettre leur sagesse et leurs connaissances aux plus jeunes, mais aussi à partager leur grande expérience d’athlète et leurs conseils pour perdurer au haut niveau, cette approche aide les nouveaux venus à :

  • améliorer leurs compétences techniques et tactiques ;
  • renforcer leurs capacités physiques, mentales et émotionnelles ;
  • comprendre les attentes individuelles et collectives ;
  • s’adapter à l’environnement professionnel ;
  • intégrer les normes, les valeurs et la culture du club ou de la sélection dont ils portent le maillot.

Miser sur le mentorat intergénérationnel pour faciliter la reprise du flambeau

C’est également l’un des meilleurs moyens de changer la vision des nouvelles générations par rapport à leurs coéquipiers plus âgés : ce ne sont pas des concurrents, mais des mentors dont ils doivent s’inspirer. Évidemment, tout cela n’est pas une fin en soi ! Au-delà de booster le développement personnel et professionnel au sein de l’équipe, l’objectif du mentorat intergénérationnel est de permettre aux plus jeunes de s’épanouir pour :

  • trouver leur place au sein du groupe ;
  • prendre progressivement du galon ;
  • être prêt le jour où on leur transmettra le flambeau de leader.

En entreprise, la logique est la même. Pour réussir une parfaite transition générationnelle, vous seriez bien inspiré de mettre en œuvre une politique de mentorat intergénérationnel. Alors, n’attendez pas que vos collaborateurs expérimentés partent à la retraite ! Tant qu’ils sont là, appuyez-vous sur les aînés pour inculquer aux cadets :

  • les compétences techniques essentielles ;
  • le comportement attendu au travail ;
  • la culture d’entreprise.

Adapter son coaching pour répondre aux besoins de chaque génération

Au sein d’une équipe sportive, difficile de gérer la transition générationnelle efficacement si l’on traite les anciens comme des novices. Les chances de réussite sont également limitées si l’on impose de vieilles méthodes d’entraînement aux plus jeunes. Il ne reste alors qu’une solution : pratiquer un coaching adapté et ciblé pour répondre aux besoins de chaque génération.

Évidemment, l’objectif n’est pas de tout individualiser. Sans entraînement collectif, il ne peut pas y avoir de cohésion… et donc pas de bonne transmission entre les générations. En revanche, au fur et à mesure que le groupe se renouvelle, il faut ajuster et moderniser son approche pour trouver un juste milieu qui convienne à tout le monde et permette de bien travailler. Ça, c’est pour la partie adaptation !

À côté de cela, les entraîneurs d’équipe sportive proposent généralement des programmes ciblés en fonction de l’âge des joueurs. Pour aider les plus anciens à rester compétitifs, à maintenir leur niveau de forme et à éviter les blessures, ils vont par exemple mettre en place :

  • des séances d’entraînement spécifiques ;
  • des plans de récupération personnalisés ;
  • des aménagements dans la charge de travail ;
  • des repositionnements à des postes moins exigeants physiquement ;
  • etc.

En ce qui concerne les jeunes, les clubs sportifs professionnels disposent de centres de formation, d’académies et de plusieurs équipes par catégories d’âges. Au niveau international, les sélections espoirs sont aussi là pour encadrer les talents émergents. Mais à l’échelle de l’équipe première, c’est au coach de mettre en œuvre des programmes permettant aux jeunes joueurs de s’intégrer dans l’effectif et de progresser dans leur carrière sportive.

Si l’on compare au monde de l’entreprise, tout cela est ainsi transposable via des politiques :

  • de formation, d’allègement du temps de travail, etc. destinées aux séniors ;
  • d’accompagnement des jeunes collaborateurs pour les aider à monter en compétence, trouver leur place, prendre confiance, gagner en légitimité ou encore réduire tout éventuel syndrome de l’imposteur.

Et c’est là que la magie opère ! En adaptant son management aux besoins de chaque génération, on s’assure de pouvoir compter sur les plus expérimentés le temps que les novices prennent de l’épaisseur pour remplacer progressivement leurs aînés. Mécaniquement, gérer la transition générationnelle devient alors un exercice plus fluide !

Gérer la transition générationnelle : le mot de la fin

Cet article vous a plu ? Pour conclure, voici l’ultime secret des entraîneurs d’équipe sportive pour réussir la transition générationnelle au sein de leur effectif : ils investissent dans leur développement personnel en se formant à la gestion du changement et en se faisant accompagner pour renforcer leur leadership.

Si vous voulez aller sur ce terrain, l’équipe de Moortgat Énergie peut vous aider et se tient donc à votre disposition. Comme première étape, nous vous invitions d’ailleurs à télécharger notre livre blanc pour apprendre à libérer votre potentiel.

Comment réussir à repartir du bon pied après les vacances ?

Comment réussir à repartir du bon pied après les vacances ?

Vos vacances se sont bien passées, vous avez reposé votre corps et votre esprit, mais avez maintenant du mal à vous replonger dans le bain du travail et de la vie quotidienne ? Même si vous avez plus d’énergie que jamais, il n’y a rien d’anormal à ce que la reprise soit un peu difficile après quelques semaines de détente. En fait, bien qu’essentielle pour vous requinquer et vous permettre de revenir d’attaque, la coupure vous a légèrement déconditionné des efforts et de votre environnement habituel.

Bref, vous étiez temporairement dans une bulle et vous avez perdu vos marques. Pour atteindre votre pic de forme et être de nouveau à 100 % de vos capacités, vous devez donc passer par un processus de réacclimatation et de réadaptation dès votre retour. C’est sur cette base que vous construirez vos futurs succès. Alors, comment repartir du bon pied après les vacances ? Analyse de la situation et conseils pour bien redémarrer à la rentrée !

Le retour des vacances, c’est la réadaptation à l’effort, au rythme du quotidien et à l’environnement de travail

Quand on est dans la vie active, il est essentiel de faire des pauses pour tenir sur la durée. Prendre quelques jours de congés permet effectivement de souffler pour recharger les batteries et revenir dans de meilleures dispositions physiques, mentales et émotionnelles. Néanmoins, dès que l’on coupe pendant plusieurs semaines, un phénomène se produit : on se désadapte. Et c’est logique ! Lorsque l’on se déconnecte (réellement) du boulot et des contraintes du quotidien, on change de cadence et d’habitudes.

De ce fait, plus la coupure est longue, plus l’on s’installe dans un nouveau mode de fonctionnement et plus le déconditionnement est marqué. Au retour, on a donc un max d’énergie, mais on tâtonne à retrouver ses repères, reprendre le rythme et se réacclimater. Face à ce constat, repartir du bon pied après les vacances signifie avant tout réussir à :

  • se reconditionner à l’effort ;
  • réenclencher une bonne routine ;
  • se réadapter à son environnement.

Comment repartir du bon pied après les vacances ? | 4 conseils

À l’image d’une voiture qui n’a pas tourné depuis un bail ou d’un smartphone resté éteint trop longtemps, il y a souvent une lenteur au redémarrage lorsqu’on a coupé un temps avec le travail et les habitudes quotidiennes. Vous avez cette sensation mollassonne quand il faut vous remettre en selle… alors que vous venez pourtant de refaire le plein d’énergie ? Pas de panique ! Il existe quelques techniques pour relancer efficacement la machine après une période de congés. Voici 4 conseils à suivre pour repartir du bon pied au retour des vacances.

1. Préparer son retour au travail… avant de partir en congé

Pour reprendre le travail sur de bonnes bases, préparez soigneusement votre retour avant de partir en vacances. Pas quand vous rentrez et encore moins pendant vos congés ! En matière d’organisation, soyez alors proactif et pensez notamment à :

  • terminer les tâches en cours et boucler les dossiers essentiels ;
  • déléguer certaines responsabilités et communiquer les informations nécessaires aux collègues qui géreront en votre absence ;
  • trier vos affaires et ranger votre espace de travail pour redémarrer dans les meilleures conditions ;
  • anticiper ce que vous devrez faire en priorité à votre retour et préparer une note pour faciliter la remise en route ;
  • etc.

Préparer son retour au travail… avant de partir en congé

En revanche, évitez de laisser des choses importantes en plan et de vous dire que vous vous en occuperez quand vous reviendrez travailler. Pourquoi ? Parce que les problèmes ne disparaitront pas en votre absence. Au lieu de ça, ils vous attendront prêts à vous submerger dès la reprise. À votre retour de vacances, vous serez donc déjà au charbon et sous pression. Vous ne pourrez alors pas vous réadapter tranquillement pour repartir sur de bons rails. Le pire, c’est que vous cramerez en un rien de temps toute l’énergie récupérée pendant vos jours de repos.

À l’inverse, en traitant les sujets chauds en amont de vos congés, vous pourrez reprendre le travail avec sérénité, enthousiasme et efficacité. C’est quand même bien plus motivant !

2. Reconnecter en douceur avec le quotidien pour reprendre progressivement le rythme

Step by step ! Pour repartir du bon pied après les vacances, inutile d’y aller comme un forcené ou de vous lancer tout de suite de grands défis. La meilleure stratégie reste de reconnecter en douceur pour reprendre le rythme et monter en régime petit à petit. Ainsi, même si vous débordez d’énergie à votre retour de congés, canalisez-vous un peu, ne poussez pas trop l’intensité et replongez au fur et à mesure dans le bain du travail et du quotidien. Ce n’est pas en sprintant dans les 100 premiers mètres que vous gagnerez un marathon !

Dans cette optique de reconditionnement progressif, inspirez-vous des champions sportifs. À l’aube d’une nouvelle saison, les grands athlètes ne visent pas les exploits immédiats. De retour à l’entraînement, ils commencent par faire du foncier et du travail d’endurance pour se renforcer musculairement et se réadapter à l’effort. Après avoir récupéré des bases solides, ils attaquent les exercices spécifiques pour fignoler leur technique.

Cette montée en puissance par étapes leur permet d’être dans les meilleures dispositions pour reprendre la compétition, mais surtout atteindre leur pic de forme dans les moments importants du calendrier. Quel que soit le sport, ceux qui zappent l’entraînement de présaison, ont une préparation tronquée ou reprennent trop tôt sont d’ailleurs plus sujets aux blessures et aux mauvais résultats dans l’année.

Évidemment, c’est pareil au boulot et dans la vie personnelle ! Lorsque l’on rentre de vacances, le but n’est pas d’essayer d’en faire le plus possible pour rattraper un éventuel retard, mais de se remettre en position de faire les choses bien. Au lieu de viser la quantité, misez donc plutôt sur la qualité quand vous revenez de congés. En vous appliquant sur des tâches simples, puis en augmentant graduellement le niveau, vous reprendrez vos repères, vous vous réadapterez mieux à votre environnement et vous retrouverez vos réflexes de manière crescendo.

3. Profiter de la coupure avec ses anciennes habitudes pour améliorer sa routine

Ce qu’il y a de bien avec les breaks, c’est qu’ils permettent de lâcher prise et de casser momentanément les mauvaises habitudes. En particulier, celles qui gaspillent de l’énergie ! Par exemple, dans le tourbillon de la vie quotidienne ou lors d’une période de rush au travail, on a tendance à négliger son alimentation, son sommeil, son activité physique, etc. En congé, le train-train change. On s’assoit pour petit-déjeuner tranquillement, on cherche à bien dormir, on fait du sport, etc.

Profiter de la coupure avec ses anciennes habitudes pour améliorer sa routine

Mais pourquoi cela devrait-il être temporaire ? Si ces bonnes pratiques améliorent votre qualité de vie, vous permettent d’être en meilleure forme et vous aident à gagner en efficience, conservez-les pour évoluer positivement ! En ce sens, si vous voulez repartir du bon pied après les vacances, intégrez vos nouveaux comportements dans votre routine personnelle et professionnelle !

Comme les choses sont déjà enclenchées, c’est vraiment le moment de pérenniser la transformation. Il faut battre le fer quand il est chaud ! Si vous ne profitez pas de l’occasion dès votre retour, vous aurez beaucoup plus de mal à modifier votre mode de fonctionnement par la suite.

4. Ne pas se laisser envahir au retour des vacances

Comme nous l’avons vu, il faut prendre le temps de se réacclimater quand on a coupé quelques jours avec le quotidien. De ce fait, si vous souhaitez repartir du bon pied après les vacances, ne vous laissez pas envahir dès votre retour ! Les vampires énergétiques vont débarquer, mais concentrez-vous d’abord sur vous et osez dire non. Pour rappel, vous n’êtes pas Superman, donc le sort de l’humanité ne repose pas sur vos épaules.

Par exemple, lorsque vous revenez au travail, n’acceptez pas toutes les réunions ou sollicitations et ne réagissez pas à toutes les notifications. Au contraire, filtrez les demandes et bloquez votre agenda pour vous atteler à ce que vous aviez prévu de faire en priorité à votre retour. Si l’on vous dit que c’est urgent, vérifiez si c’est vraiment important. Si ce n’est pas le cas, ça attendra. Vous saviez par où commencer, donc ne déviez pas de vos objectifs !

D’autre part, soyez conscient que vous n’allez pas rattraper deux ou trois semaines de congés en une journée. Alors, restez zen et ne paniquez pas si votre boîte mail est pleine. Vous avez le droit d’organiser tranquillement votre planning… et même de vous accorder des pauses pour reprendre votre souffle !

Repartir du bon pied après les vacances : le mot de la fin

Cet article vous a plu ? Maintenant que vous savez comment repartir du bon pied après les vacances, vos retours de congés devraient parfaitement se dérouler. Néanmoins, si vous souhaitez vous faire accompagner pour réussir votre rentrée et poser dès à présent les bases de vos futurs succès, Moortgat Énergie se tient à votre disposition. Alors, contactez-nous pour en discuter ! Par ailleurs, si vous voulez aller plus loin en matière de développement personnel, téléchargez notre livre blanc pour apprendre à libérer votre potentiel.

Comment se libérer des croyances limitantes pour enfin sauter le pas ?

Comment se libérer des croyances limitantes pour enfin sauter le pas ?

Votre système de croyances peut-il vous barrer la route du succès ? Si vous laissez de fausses certitudes contrôler votre esprit, un cercle vicieux fait de doute, de pessimisme, de paranoïa et de manque de confiance risque de s’installer dans votre tête. La réponse est donc oui !

Par définition, une croyance limitante ou limitative est une idée préconçue suffisamment enracinée dans l’inconscient d’un individu pour brouiller sa perception de la réalité et l’empêcher de passer à l’action. Lorsqu’on essaye d’aller à son encontre, cette intime conviction paralyse et rend timide. Généralement, la pensée bloquante se matérialise par des phrases irrationnelles comme : « Je n’ai pas assez de temps, d’argent, de compétences, etc. » ou encore « Impossible, c’est seulement réservé aux hommes, aux riches, aux personnes valides, etc. ». Freinant l’estime de soi, l’épanouissement, l’accomplissement et la réalisation de soi, elle nuit donc aussi bien à la vie personnelle que professionnelle.

Vous être enfermé dans ce genre de prison mentale et avez l’impression que vous ne serez jamais à la hauteur de vos ambitions ? Découvrez comment se libérer des croyances limitantes pour sauter le pas et avancer vers la réussite !

Étape 1. Identifier ses croyances limitantes pour prendre conscience de ses blocages

Pour se libérer des croyances limitantes, la première étape est de les identifier et de noter les excuses utilisées pour justifier l’inaction. Généralement, les spécialistes de la PNL (Programmation Neuro-Linguistique) classent les pensées négatives bloquantes en trois catégories :

  1. celles qui créent du désespoir ➠ vous êtes convaincu que vous ne pouvez rien faire, que la situation est inéluctable, qu’une catastrophe va se produire, etc. ;
  2. celles qui donnent un sentiment d’impuissance ➠ vous êtes persuadé que vous n’avez pas le bon profil, que vous manquez de talent, que vous ne pouvez pas plaire, que vous n’avez pas suffisamment de leadership, etc. ;
  3. celles qui encouragent la dévalorisation de soi ➠ vous êtes sûr que vos succès sont dus à la chance, que vos échecs sont programmés, que vous ne méritez pas de réussir, etc.

Toutes ces fausses certitudes sont souvent formulées comme des évidences, des généralités catégoriques ou des hypothèses négatives. Pour les débusquer, repérez donc les phrases dans lesquelles vous employez des mots ou des expressions comme :

  • ne… pas ;
  • jamais ;
  • aucun ;
  • trop ;
  • personne ;
  • toujours ;
  • à chaque fois ;
  • tout le monde ;
  • impossible ;
  • si seulement ;
  • mais ;
  • et si… ;
  • etc.

Étape 2. Comprendre la source de ses fausses croyances pour réduire ses freins psychologiques

Comprendre la source de ses fausses croyances pour réduire ses freins psychologiques

La deuxième étape pour vous défaire de l’emprise de vos croyances limitantes est de comprendre leur point de départ. Alors, creusez dans votre passé pour trouver ce qui vous a poussé à accorder une valeur de vérité absolue à une fausse idée. Sur quoi reposent vos pensées bloquantes ? Comment se sont-elles incrustées dans votre tête pour créer des schémas mentaux restrictifs ?

Les croyances limitantes nées d’un traumatisme

La source d’une pensée limitante peut être un traumatisme (divorce, accident, licenciement, défaite, etc.) que vous craignez de revivre. Pour vous protéger du mal-être de vos expériences passées, vous avez alors cultivé des croyances irrationnelles, d’où le blocage mental et les comportements d’autosabotage comme :

  • le perfectionnisme ;
  • la procrastination ;
  • la résignation ;
  • la victimisation ;
  • la peur de gagner,
  • le syndrome de l’imposteur ;
  • la difficulté à faire confiance ;
  • etc.

Dans ce cas, plus vous éclaircirez la racine du problème, plus vous pourrez travailler pour réduire vos freins psychologiques.

Les fausses croyances profondes forgées par un long conditionnement

Un conditionnement à long terme (éducation, appartenance à un groupe, stéréotypes répandus, harcèlement, etc.) peut inconsciemment avoir forgé vos certitudes immobilisantes. Par exemple, une femme qui n’a pas fait d’études aura du mal à envisager une belle carrière dans un secteur à dominance masculine si on lui a rabâché ces deux phrases durant son enfance :

  1. « Tu ne pourras pas t’en sortir dans la vie sans diplômes. »
  2. « Laisse tes frères jouer au foot, ce n’est pas un sport pour les filles. »

Par contre, si elle comprend que son entourage a fortement influencé son schéma de pensée, sa personnalité, ses intuitions et sa vision du monde, elle pourra remettre en cause les croyances limitantes qui l’empêchent d’avancer.

Étape 3. Déconstruire ses croyances limitantes pour s’ouvrir un nouveau champ des possibles

Même si les croyances limitantes sont profondément ancrées dans le cerveau pour pousser au renoncement, il est possible de les déconstruire après les avoir débusquées et compris d’où elles proviennent. C’est la troisième étape.

Mettre en lumière des contre-exemples pour neutraliser les croyances limitantes

Pour réaliser que vos croyances ne reflètent pas la vérité, allez à leur encontre et validez leur inexactitude en trouvant des faits qui les contredisent. Plus vous regrouperez de preuves remettant en cause vos pensées bloquantes, plus vous changerez votre niveau de conscience pour comprendre que beaucoup d’idées handicapantes sont le fruit de votre imagination. Ainsi, les contre-exemples identifiés vous aideront à renforcer votre intelligence émotionnelle et vous serviront de parades pour faire la part de choses dans les moments de doute.

Trouver des modèles inspirants pour casser les idées préconçues

Pour se défaire des croyances limitantes, il est efficace de s’identifier à une personne qui a connu le succès en brisant les idées préconçues. En trouvant un modèle inspirant, vous aurez un mentor qui vous donnera une raison d’y croire, plus de confiance en vous et un chemin à suivre pour sauter le pas. Un peu comme le Professeur X qui façonne l’état d’esprit des X-Men pour qu’ils atteignent leur plein potentiel !

Étape 4. Reprogrammer son mental pour se construire des schémas de pensées aidants

La quatrième étape pour se débarrasser des croyances limitantes est de reprogrammer son mental et de se reconditionner positivement en remplaçant les idées paralysantes par des pensées aidantes.

Visualiser un avenir rayonnant dépollué des croyances irrationnelles

Plus vous remplirez votre tête de positivisme et d’optimisme, plus vous aurez de facilité à avancer pour être heureux dans la vie. Ainsi, quand vous vous sentez inhibé par vos pensées, visualisez le futur rayonnant que vous pouvez atteindre en annihilant vos croyances restrictives. Voyez les portes de succès que cela vous ouvrira et imaginez-vous en train de réussir. Sur le plan mental, votre volonté et votre motivation augmenteront.

Utiliser la méthode Coué pour faire taire les croyances irréalistes

La méthode Coué est une technique de pensée positive par l’autosuggestion. Le but est de transformer les croyances limitantes en se répétant l’affirmation positive inverse. Par exemple, vous pouvez reformuler : « Je ne suis pas assez bon… » en « Je suis parfaitement capable… » ou « Je suis trop vieux… » en « J’ai plus de maturité… ». Ce travail sur soi est redoutable pour faire taire chaque petite voix paralysante dans la tête, car plus l’on grave une idée dans son esprit, plus elle tend à devenir réelle. C’est le principe de la prophétie autoréalisatrice où le subconscient fait adopter des comportements en fonction de la prédiction. Bref, faites comme si pour créer de nouvelles croyances !

Étape 5. Sortir de sa zone de confort pour complètement se libérer des croyances limitantes

Sortir de sa zone de confort pour complètement se libérer des croyances limitantes

La dernière étape pour éliminer les croyances limitantes est de sortir de sa zone de confort. Le passage à l’action est la seule thérapie qui vous confirmera que vous avez vraiment franchi un cap pour aller de l’avant. Ainsi, fixez-vous de petits objectifs en vous demandant comment faire pour y arriver… malgré l’élément que vous imaginez handicapant.

Dès que vous êtes prêt, osez faire le premier pas sans vous retenir. Si vous réussissez, vos convictions bloquantes s’estomperont. Plus confiant, vous pourrez donc dépasser vos limites pour vous épanouir. Si vous échouez, c’est juste de l’apprentissage. Alors, inutile de lâcher prise ! La prochaine fois sera meilleure. Briser votre plafond de verre peut prendre du temps. Pour y arriver, gardez simplement en tête cette phrase de Samuel Beckett : « Déjà essayé. Déjà échoué. Peu importe. Essaie encore. Échoue encore. Échoue mieux. »

 

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Par où commencer ? Et si la réponse était juste de continuer…

Par où commencer ? Et si la réponse était juste de continuer…

Vous venez de finir un projet, vous êtes à l’arrêt et vous vous demandez quoi faire ensuite ? Ce genre de situation arrive régulièrement et peut vite devenir un casse-tête. Pour remplir le vide que vous ressentez, vous allez alors rapidement essayer de trouver une nouvelle activité. Et la première question qui vous viendra à l’esprit sera « par où commencer ? ». Cependant, comme vous avez passé énormément de temps focalisé sur vos actions précédentes, vous avez probablement oublié qu’il y a un tas de projets que vous avez déjà démarrés sans jamais être allé au bout. Trop concentré sur l’instant présent, votre cerveau a juste zappé. Maintenant, si vous réfléchissez un peu, vous vous rendrez compte qu’au lieu de vous lancer dans l’inconnu, vous pouvez très bien repartir sur de l’existant et poursuivre ce qui a été inachevé. Alors, pensez-y : et si vous commenciez simplement par continuer ce que vous n’avez pas encore terminé ?

Vider sa tête par écrit pour identifier ce qui n’a jamais été achevé : le meilleur moyen de trouver par où commencer !

Quand vous ne savez pas exactement dans quoi vous lancer, deux approches peuvent vous aider à débloquer la situation. La première est de vous creuser les méninges pour identifier une nouvelle activité. Le problème de cette option, c’est que si vous partez de zéro, le démarrage sera compliqué. La mise en route est la partie la plus difficile de toute action. Cela ne signifie pas que vous devez abandonner sans essayer. Vous devez seulement être conscient qu’il faudra vous accrocher d’entrée. Ce constat nous amène à la deuxième méthode pour trouver par où commencer. Puisque faire le premier pas est l’étape la plus dure, une bonne solution est de réfléchir à ce que vous avez déjà entamé et de vous vider la tête en mettant tout par écrit.

En effet, nous passons notre temps à commencer des choses sans jamais les finir. Honnêtement, combien de projets avez-vous reportés ou débutés sans aller au bout par manque de temps, d’envie, de moyen, etc. ? En couchant la liste noir sur blanc, vous éclaircirez votre esprit et comprendrez qu’au lieu de rechercher absolument la nouveauté, il sera sûrement plus facile de revenir sur ce que vous avez délaissé. La question ne sera alors plus de démarrer dans l’inconnu, mais de redémarrer en vous appuyant sur de l’existant. Pour faire un parallèle, il est toujours plus simple d’innover que d’inventer.

Vider sa tête par écrit pour identifier ce qui n’a jamais été achevé : le meilleur moyen de trouver par où commencer !

D’ailleurs, pour vous aider à relancer la machine quand vous en aurez besoin, garder une trace des tâches inachevées sera essentiel, car cela vous permettra de ne rien oublier. Ainsi, pensez désormais à systématiquement noter et répertorier ce que vous commencez, même si vous n’avez pas beaucoup avancé. Tant que la première pierre est posée, il vous suffira de reprendre où vous en êtes et de continuer le travail que vous aviez mis en stand-by. Un peu comme Yannick Noah, qui après avoir été un grand champion de tennis, s’est tourné vers un projet qu’il avait entamé sans pouvoir s’y consacrer pleinement durant sa carrière sportive : la musique. Comme vous le savez sûrement, il a alors rapidement multiplié les tubes pour devenir un chanteur à succès.

Ce qui doit être fait ou ce qu’on veut vraiment faire : par quoi commencer ?

Vous avez réalisé la liste des projets que vous avez entamés sans être allé au bout ? Ces derniers sont clairs dans votre esprit ? Alors, il y a de grandes chances qu’ils puissent être séparés en deux catégories : ceux qui doivent être terminés et ceux que vous avez envie de finir. Et là, un autre dilemme se pose : par quoi commencer parmi toutes ces activités inachevées ? Évidemment, si vous avez identifié une tâche importante, urgente, plaisante et gratifiante, c’est vers celle-ci que vous allez vous lancer, puisqu’elle est primordiale et motivante. Pour faire le choix entre l’important et l’urgent, vous pouvez notamment vous aider de la célèbre matrice d’Eisenhower en priorisant de la sorte :

  1. les tâches importantes et urgentes ;
  2. les tâches importantes, mais non urgentes ;
  3. les tâches non importantes, mais urgentes ;
  4. les tâches non importantes et non urgentes.

Maintenant, que faire si parmi ce que vous avez mis en stand-by, vous avez à la fois des obligations encombrantes qui traînent et des projets oubliés excitants mais moins essentiels ? S’il n’y a pas de caractère d’urgence, vous pouvez encore reporter les activités fastidieuses, mais vous devrez vous y coller tôt ou tard pour finir le travail. Honnêtement, si vous ne pouvez pas déléguer ce genre de tâches et qu’elles sont réellement importantes, le mieux est de commencer par les terminer pour vous libérer l’esprit. Vous pourrez ensuite vous focaliser pleinement sur les actions qui vous boostent vraiment…sans devoir couper votre élan pour gérer des corvées.

Comment relancer la machine pour finir ce qu’on a mis en stand-by ?

Comme expliqué précédemment, quand on se demande par où commencer, il est généralement plus facile de revenir sur une activité inachevée pour finir le travail que de partir sur un projet totalement nouveau. En revanche, si redémarrer ce qu’on a mis en stand-by est moins compliqué, car le premier pas a déjà été fait, personne n’a dit que relancer la machine est simple. Si l’on a appuyé sur pause depuis un bon moment, il faut remonter en selle, reprendre ses marques et se remettre dans le bain avant de pouvoir se laisser glisser. Alors, comment faire pour repartir quand on est à l’arrêt depuis longtemps ? Tout d’abord, inutile de vouloir se précipiter pour aller aussi vite que Flash ! Et puis, pas la peine de paniquer ! N’oubliez pas que vous êtes sur de l’existant et non de l’inconnu.

Comment relancer la machine pour finir ce qu’on a mis en stand-by ?

Pour continuer ce que vous avez entamé dans le passé, replongez donc progressivement dans votre projet pour vous souvenir de vos objectifs initiaux, comprendre ce que vous avez déjà fait, vous rappeler pourquoi vous avez fait tel choix, etc. Finalement, vous devez essayer de reprendre petit à petit le fil de votre pensée et récupérer la logique de vos actions pour retrouver vos sensations. Ensuite, comme de l’eau a coulé sous les ponts, il se peut que le contexte actuel ne soit plus tout à fait le même qu’à l’époque où vous vous étiez lancé pour la première fois. Par conséquent, il faut que vous preniez également le temps de rééquilibrer les choses pour les adapter à la situation d’aujourd’hui. C’est en faisant tout ce travail que vous vous mettrez correctement en mouvement.

Par où commencer ? | le mot de la fin

Vous l’avez désormais compris : quand vous souhaitez passer à autre chose et cherchez par où commencer, la réponse est souvent sous vos yeux. Elle se trouve généralement parmi les activités que vous avez déjà entamées sans les finir. Bref, au lieu de vouloir partir de zéro sur de l’inconnu, il sera parfois plus judicieux de vous focaliser sur l’existant et de continuer ce que vous n’avez pas encore achevé. Alors, faites le point sur tout ce que vous avez démarré dans le passé sans jamais être allé au bout. Pour prioriser les tâches à poursuivre, interrogez-vous ensuite sur ce qui doit être fait et ce que vous voulez vraiment faire. Enfin, il vous restera à suivre les conseils donnés précédemment pour relancer la machine avec brio.

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Lâcher Prise ou Tenir Bon : Quelle est la Meilleure Décision ?

Lâcher Prise ou Tenir Bon : Quelle est la Meilleure Décision ?

Vous vous êtes fixé des objectifs clairs à atteindre ? C’est très bien ! Savoir exactement ce que vous visez est indispensable pour vous amener vers la situation dont vous rêvez. Cependant, vous devez éviter de tomber dans l’obsession. Ce mauvais comportement peut facilement vous empêcher de vous rendre compte que vous avez atteint vos limites ou que votre plan d’action est inefficace. Finalement, vous risquez même de manquer de lucidité pour comprendre quand persister et quand dire stop. Plutôt inquiétant, non ? C’est pourquoi apprendre à identifier les moments où il est temps d’arrêter de s’acharner et ceux où l’on peut encore insister est absolument primordial dans la vie. Lâcher prise ou tenir bon ? Lisez attentivement cet article pour faire le meilleur choix face à ce grand dilemme !

Lâcher prise ou tenir bon : deux attitudes diamétralement opposées

Vous n’arrivez pas à atteindre vos objectifs ? Cette situation vous préoccupe de plus en plus ? Au bout d’un moment, vous devrez vous décider : lâcher prise ou tenir bon. Il est donc nécessaire de bien comprendre ce que signifient réellement ces deux attitudes diamétralement opposées.

Lâcher prise : l’art de savoir se dire stop au bon moment

Concrètement, lâcher prise veut dire cesser de s’accrocher coûte que coûte à une situation, une personne, un objectif, un concept ou n’importe quel autre élément. Simple en apparence, cette action est néanmoins difficile à mettre en place. En effet, lorsque nous avons une idée fixe, il devient très compliqué :

  • de se laisser aller ;
  • de vivre l’instant présent ;
  • de renoncer à sa volonté de tout maîtriser ;
  • d’accepter de ne pas avoir le contrôle absolu.

Seulement, voilà : savoir se dire stop, ce n’est pas uniquement admettre qu’il est grand temps d’arrêter de s’obstiner. C’est également se rendre à l’évidence que nous sommes allées au bout de nous-mêmes et qu’il vaut mieux privilégier notre santé, notre intégrité et notre liberté pour être beaucoup plus épanoui. Bref, c’est l’art de prendre au bon moment une sage décision : celle de ne surtout pas se mettre dans une situation critique.

En revanche, lâcher prise ne veut pas forcément dire abandonner ou perdre. Parfois, pour éviter de foncer droit dans le mur, il faut simplement cesser de s’acharner afin de se ressourcer, retrouver ses esprits et éclaircir ses idées. Cette démarche permet :

  • d’analyser ses erreurs ;
  • de comprendre ses points forts ;
  • de voir les choses sous un nouvel angle ;
  • de réajuster sa stratégie.

En matière de développement personnel, cette méthode est donc complètement positive !

Tenir bon : la force de persévérer malgré les obstacles

« Ne lâche rien ! », « Vas-y, insiste ! », « Ne craque surtout pas ! » : à force d’entendre ce genre de phrases au quotidien, nous sommes conditionnés pour ne jamais abandonner. Comme Superman ou Captain America, nous finissons alors par nous montrer hautement exigeants envers nous-mêmes. Nous pouvons d’ailleurs en venir à nous imposer une ligne de conduite extrêmement stricte.

Si l’on rajoute toutes les histoires de personnes qui ont réussi à devenir des références dans leur domaine malgré plusieurs échecs (Thomas Edison, Walt Disney, J.K. Rowling, etc.), tenir bon apparaît comme une tactique gagnante dans la vie. Et c’est vrai ! La résilience et la persévérance sont des super-pouvoirs particulièrement utiles pour surmonter les obstacles qui se dressent sur notre chemin.

Néanmoins, il est nécessaire de ne pas confondre ces notions avec le mauvais acharnement qui consiste juste à s’obstiner en fonçant tête baissée. Si vous voulez vous accrocher malgré les difficultés, vous devez le faire correctement pour ne pas perdre le sens des réalités. Comment ? En gardant votre objectif à l’esprit, mais surtout en apprenant de vos erreurs pour éviter de les répéter, car soyons clairs : les mêmes causes produiront toujours les mêmes effets.

Comment trouver son équilibre entre lâcher prise et tenir bon ?

Lâcher prise ou tenir bon ? Quel dilemme ! Comme nous l’avons vu précédemment, la ténacité sera parfois une stratégie payante. Mais, dans certaines situations, vous aurez bien plus à gagner en arrêtant de vous acharner. Finalement, c’est juste une question d’équilibre ! À quel moment est-il primordial de savoir se dire stop ? Quand faut-il plutôt continuer d’essayer ? Décryptage.

Apprendre à lâcher prise : quand faut-il absolument arrêter de s’acharner ?

« La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent. »

Albert Einstein

Eh oui ! Au bout de combien de tentatives ratées devez-vous arrêter les frais ? À partir de combien de temps avez-vous intérêt à laisser tomber un projet si vous n’y arrivez pas ? Difficile à évaluer, n’est-ce pas ? Pour ne pas sombrer dans les abus, vous pouvez évidemment installer des limites à ne jamais dépasser. Par exemple, si vous êtes commercial et que vous tentez de contacter un client potentiel, définir un nombre de relances maximum peut être utile pour ne pas gaspiller votre temps sur ce dernier, car beaucoup d’autres vous attendent probablement.

Mais, en dehors de certains cas, la décision de lâcher prise n’est pas vraiment une affaire de mathématiques. C’est surtout une question de bien-être et de respect de soi ! Pour vous aider à comprendre tout cela, voici les principaux contextes où vous devez absolument savoir vous dire stop :

  • Vous allez à l’encontre de vos convictions ? Vous sentez que vous forcez beaucoup trop ? Vous êtes épuisé après avoir fait tout votre possible ? Vous êtes particulièrement mal à l’aise ? Donnez le coup de sifflet final à chaque fois que votre santé physique ou mentale est mise en péril !
  • Vous répétez les mêmes schémas sans savoir pourquoi ? Vous faites des choses uniquement par habitude ? Vous ne comprenez pas le sens de vos actions ? Vous ne prenez aucun plaisir ? Ne soyez pas fou, arrêtez-vous au moins pour analyser le problème !
  • Vous n’avez aucun contrôle sur la situation ? Vous êtes dépendant d’une autre personne pour avancer ? Inutile d’insister ! Par exemple, ça ne sert à rien d’actualiser votre boîte mail toutes les 30 secondes lorsque vous attendez un message.

Développer sa capacité à tenir bon : quand faut-il faire preuve de ténacité ?

« J’ai raté 9 000 tirs dans ma carrière. J’ai perdu presque 300 matchs. 26 fois, on m’a fait confiance pour prendre le tir de la victoire et j’ai raté. J’ai échoué encore et encore et encore dans ma vie. Et c’est pourquoi je réussis. »

Michael Jordan

Bien évidemment, il existe certaines situations vitales qui nous obligent à devoir tenir bon. Mais, en dehors de ces cas extrêmes, nous nous accrochons aussi quelquefois à des objectifs personnels, des idées fortes ou des convictions intimes pour avancer. C’est avec cette ténacité que Michael Jordan est devenu un tel champion. Eh oui ! Au lycée, l’Américain était considéré comme « trop petit » pour intégrer l’équipe de basketball. Grâce à sa persévérance, il est aujourd’hui reconnu par les observateurs comme étant le meilleur joueur de l’histoire de son sport et l’un des plus grands athlètes de tous les temps.

Néanmoins, comme nous l’avons vu précédemment, l’acharnement n’est pas toujours la solution adéquate. Lâcher prise ou tenir bon : pourquoi Michael Jordan a-t-il donc choisi la voie de l’obstination ? La réponse est assez simple : parce qu’il était extrêmement passionné ! Aimer ce que l’on fait est assurément l’une des sensations les plus puissantes pour entretenir correctement sa capacité à tenir bon. Par conséquent, dès que vous êtes habité par ce merveilleux sentiment, vous pouvez décider de persister.

En effet, si vous prenez du plaisir en essayant d’accomplir quelque chose, vous arriverez à voir l’échec comme une manière de vous améliorer. Vous ne forcerez plus et deviendrez moins frustré par vos erreurs. Bref, vous serez en parfaite harmonie avec vous-même ! Le chemin vers le succès vous semblera d’ailleurs plus fluide : vous essayez, vous vous trompez, vous apprenez, vous progressez. Tout cela, jusqu’au moment où vous atteignez votre but !

Lâcher prise ou tenir bon : le mot de la fin

Lâcher prise ou tenir bon ? Vous l’avez désormais compris : les deux options peuvent permettre de s’épanouir dans la vie. Parfois, vous devrez arrêter de vous acharner pour favoriser votre bien-être. Si vous prenez du plaisir, vous pourrez néanmoins vous accrocher pour atteindre vos rêves. Finalement, il n’y a pas de côté obscur. La clé, c’est simplement de savoir s’écouter pour trouver son équilibre !

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Qu’est-ce qu’un bon objectif ? | les 3 aspects déterminants

Qu’est-ce qu’un bon objectif ? | les 3 aspects déterminants

Combien de fois avez-vous abandonné vos objectifs en cours de route ? Même en utilisant la célèbre méthode SMART, c’est arrivé tellement souvent que vous avez arrêté de compter ? Alors, soyons clairs : se fixer un objectif Spécifique, Mesurable, Acceptable, Réaliste et Temporellement défini, c’est mieux pour le ciblage. Mais est-ce une formule magique ? Non, le problème est généralement plus personnel et repose en particulier sur une notion : l’engagement. Si celui-ci n’est pas au top, vous pourrez respecter toutes les règles que vous voulez, ce sera extrêmement difficile d’aller au bout pour atteindre votre but. Alors finalement, qu’est-ce qu’un bon objectif ? C’est tout simplement un objectif qui permet de décupler l’engagement mental, émotionnel et comportemental. Zoom sur ces 3 aspects déterminants.

1. Un bon objectif doit décupler l’engagement mental

L’engagement mental, c’est faire l’effort de mobiliser ses ressources cérébrales pour se mettre en action. Lorsqu’il est boosté, on ressent une forte volonté de relever le défi et on devient extrêmement motivé pour atteindre son but. Concrètement, on démarre la machine qui permet de repousser ses limites. Alors, focalisez-vous sur votre objectif. Quand vous y pensez, ressentez-vous ce désir profond de vous investir pleinement, de rester focus sur ce que vous faites, de vous battre pour tenir bon et de surmonter les difficultés ? Si oui, vous tenez le premier des trois aspects déterminants d’un bon objectif : le fait de donner envie d’utiliser son énergie mentale. Dans le cas contraire, rien n’est perdu. Il faudra réaliser quelques ajustements pour favoriser une meilleure implication.

Tout d’abord, demandez-vous si votre objectif est suffisamment clair et sensé. Une cible précisément identifiée permet de tracer une feuille de route pour avancer dans la bonne direction. Elle offre aussi la possibilité de mesurer sa progression en temps réel. Par ailleurs, un objectif qui semble réaliste et logique par rapport au contexte dans lequel on évolue, à une stratégie plus globale, à ses capacités ou à différents facteurs internes et externes est plus facile à contextualiser. Et quand on est moins perdu sur le chemin qui mène vers le but à atteindre, on améliore sa concentration et on préserve son engagement mental. Enfin, l’autre point clé sera la récompense promise. La perspective d’obtenir un bénéfice utile, un avantage intéressant ou une gratification excitante diminue en effet grandement le risque de lâcher-prise.

2. Un bon objectif doit booster l’engagement émotionnel

L’engagement émotionnel, c’est l’intensité avec laquelle on réagit émotionnellement pour décider de se mettre à l’œuvre. Lorsqu’il est décuplé, on ressent un lien affectif et passionnel extrêmement fort par rapport au but fixé et on accorde une importance de premier ordre à ce que l’on accomplit. On s’engage alors de manière sereine et naturelle, tout en y trouvant une certaine satisfaction.

Encore une fois, focalisez-vous sur votre objectif. Quand vous y pensez, ressentez-vous une cohérence intuitive forte avec vos besoins, vos envies et vos valeurs ? Avez-vous littéralement l’impression d’être en mission ? Si oui, vous tenez le deuxième des trois aspects déterminants d’un bon objectif : le fait de créer une connexion émotionnelle suffisamment puissante pour activer sans forcer sa capacité à faire des efforts sur la durée. Dans le cas contraire, interrogez-vous honnêtement sur ce qui pose problème avec votre cible. Tout d’abord, pourquoi le but à atteindre ne fait-il pas sens dans votre esprit ? Votre engagement émotionnel est peut-être freiné parce que vous :

  • concevez les choses de manière trop différente ;
  • détestez ce qui vous est demandé ;
  • avez peur des conséquences ;
  • êtes déçu par certaines méthodes employées ;
  • êtes mal à l’aise de travailler dans certaines conditions ;
  • trouvez votre mission ennuyeuse ou répétitive ;
  • ne percevez aucune logique ;
  • etc.

Un bon objectif doit booster l’engagement émotionnel

Si tel est le cas, un conflit interne provoque certainement un désengagement affectif. Il va donc falloir réorienter votre objectif pour qu’il soit en phase avec vous-même, avec votre logique personnelle, mais aussi avec votre vision de l’éthique. En procédant à ce changement, la gêne, la peur, l’ennui et l’anxiété qui vous inhibent laisseront place à la sérénité, au plaisir, à la joie et à la motivation. Enfin, un bon objectif sur le plan de l’engagement émotionnel doit permettre d’obtenir une récompense qui touche au côté sentimental. Nous parlons d’éléments gratifiants liés entre autres à la reconnaissance, à l’intégration, à l’accomplissement, à l’image, à la fierté, au bonheur, à l’universalisme, à l’altruisme, etc.

3. Un bon objectif doit renforcer l’engagement comportemental

L’engagement comportemental, c’est le fait de vouloir utiliser son énergie au bon endroit et au bon moment pour améliorer sa performance. Quand il est renforcé, on est prêt à ajuster son comportement par rapport à l’objectif à atteindre, à ses spécificités personnelles, mais également aux éléments extérieurs. Et lorsqu’on parvient à se servir correctement de ses ressources internes (mentales, physiques, émotionnelles, techniques) et externes (matérielles, humaines), on adopte la bonne attitude, on est moins hésitant dans ses choix et on gagne en précision dans ses actions. On est donc plus efficace et on augmente réellement ses chances de réussite.

Alors, interrogez-vous. Quand vous pensez à votre objectif, vous sentez-vous prêt à faire tout ce qu’il faut pour le remplir ? Seriez-vous par exemple enclin à modifier votre fonctionnement si nécessaire, à demander de l’aide si besoin, etc. pour être plus performant ? Avez-vous vraiment l’impression de pouvoir vous autogérer pour atteindre votre but, tout en vous adaptant à votre environnement sans avoir le sentiment de vous trahir ? Si oui, vous tenez le dernier des trois aspects déterminants d’un bon objectif : le fait de donner envie de bien faire sur le plan comportemental, c’est-à-dire d’accorder autant d’importance à la manière qu’au résultat. Dans le cas contraire, il y a quelques détails à régler. Tout d’abord, vous avez peut-être un problème de clarté. Il faut donc que vous vous concentriez sur trois éléments :

  1. une formulation précise de votre objectif (que voulez-vous atteindre ?) ;
  2. une explication réelle de votre objectif (pourquoi voulez-vous l’atteindre ?) ;
  3. une spécification détaillée de votre objectif (comment allez-vous l’atteindre ?).

Grâce à ce travail, vous pourrez mettre en perspective ce que vous devez faire et ce que vous pouvez faire pour établir un plan d’action précis. Avec moins de questions en tête, votre engagement comportemental sera alors décuplé. Par ailleurs, n’oubliez pas de donner un maximum de sens à votre objectif. Tout deviendra beaucoup plus fluide. Vous développerez ainsi un état d’esprit et une attitude qui vous guideront pour adopter le comportement adéquat.

Qu’est-ce qu’un bon objectif ? | le mot de la fin

Qu’est-ce qu’un bon objectif ? Comme vous l’avez désormais compris, c’est avant tout un objectif qui permet de booster à la fois votre engagement mental, émotionnel et comportemental. Quand vous vous fixez des buts à atteindre, ces trois aspects sont déterminants pour maximiser vos chances de succès. Que ce soit dans le domaine professionnel, personnel, sportif, artistique ou autre, si vous en tenez compte, vous deviendrez à coup sûr un super-héros du quotidien qui atteindra plus souvent ses cibles.

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