Power posture : des poses en or pour un mental d’acier !

Power posture : des poses en or pour un mental d’acier !

Vous croisez les bras dès que le stress vous envahit ? Vous baissez la tête quand vous n’êtes plus dans votre zone de confort ? Attention à cette gestuelle défensive ! Même si vous pensez vous protéger, vous réfugier dans des positions fermées n’est pas la meilleure option pour votre bien-être. En effet, au-delà de conditionner la perception des autres à votre égard, votre communication non verbale possède une influence énorme sur votre mental. Lors d’une conférence TED en 2012, Amy Cuddy, experte en psychologie sociale, a suscité le buzz en présentant une méthode de langage corporel à l’efficacité redoutable : la power posture. Ce concept s’appuie sur des poses de pouvoir ouvertes qui modifieraient positivement notre état d’esprit, notre attitude, notre comportement et notre charisme. Découvrez immédiatement tout ce qu’il faut savoir sur ces manières de se tenir extrêmement puissantes !

C’est quoi la power posture ?

Dans notre gestuelle quotidienne, nos positions corporelles peuvent être réparties en deux groupes :

  • les poses de faible puissance qui sont fermées et prennent un minimum de place ;
  • les poses de forte puissance qui sont ouvertes et occupent parfaitement l’espace.

Hautement impactantes, ce sont celles appartenant à la deuxième catégorie qui incarnent l’idée de power posture. Très utilisées par les chefs d’entreprise, les personnalités politiques, les champions sportifs et la plupart des grandes stars, elles démontrent effectivement :

  • une attitude de leader ;
  • un sentiment de force ;
  • un caractère de vainqueur ;
  • un air de décontraction ;
  • un contrôle de la situation.

Cependant, même si adopter un langage corporel puissant permet de gagner en prestance et en charisme, l’objectif d’une posture de pouvoir n’est certainement pas d’intimider ou d’écraser les autres. C’est plutôt de cultiver un état d’esprit positif pour se retrouver en pleine possession de ses moyens et présenter systématiquement une version optimale de nous-mêmes.

5 poses de pouvoir efficaces pour booster son mental

D’après les travaux d’Amy Cuddy, la power posture est capable de nous transfigurer. Pour vous aider à mieux visualiser comment bien se tenir, analysons en détail 5 poses de pouvoir (ou power poses) aux effets positifs sur le mental.

1. Le super-héros

À l’image de Wonder Woman ou Superman, cette power pose consiste à rester droit avec les mains placées au niveau de la taille, les pieds écartés à la largeur des hanches, le torse légèrement en avant et le menton incliné vers le haut. Elle transmet un maximum de confiance pour passer à l’action et surmonter les obstacles.

2. Le performeur

Inspiré de Mick Jagger, cette pose de pouvoir consiste à se mettre debout avec les pieds écartés et les mains levées au-dessus de la tête pour former le « V » de « Vainqueur ». Elle apporte beaucoup d’énergie et permet de commencer une activité avec une mentalité de gagnant. C’est d’ailleurs une pose très instinctive pour exprimer la réussite, puisque les sportifs non-voyants de naissance l’adoptent aussi en cas de victoire.

3. L’Obama

Très employée par l’ancien président des USA dont elle porte le nom, cette power pose consiste à s’asseoir avec les pieds sur une table (ou un bureau) et les mains derrière la tête. Il faut aussi que les jambes restent tendues et que le corps soit légèrement incliné vers l’arrière. Elle renvoie une image de leader décontracté, optimiste, rassurant et convaincu de ses forces.

4. Le géant dominant

Faisant référence à l’ex-président américain Lyndon B. Johnson qui mesurait 1,92 m, cette pose de pouvoir consiste à se pencher en avant avec les mains appuyées et écartées sur une table (ou un bureau). Elle est parfaite pour surplomber son audience et se montrer particulièrement persuasif.

5. Le CEO

Rendant hommage à Oprah Winfrey, cette power pose consiste à s’installer confortablement dans sa chaise (ou son fauteuil) avec les pieds au sol, le corps un peu en arrière et les mains derrière la tête. Elle permet de dégager une impression de patron relax qui maîtrise totalement les événements.

Comment les power poses influencent-elles notre état d’esprit ?

Les positions de pouvoir influencent positivement notre état d’esprit pour ensuite optimiser nos chances de réussite. Dans ce sens, adopter la power posture aide notamment à :

  • gagner en énergie ;
  • se sentir plus fort ;
  • démontrer de la conviction ;
  • améliorer sa confiance en soi ;
  • réduire son stress ;
  • développer une meilleure estime de soi.

Amy Cuddy et son équipe ont prouvé cette théorie en menant une étude auprès de 42 volontaires (26 femmes et 16 hommes) qui n’étaient pas au courant de l’objectif des tests. Pendant deux minutes, chaque participant devait prendre une pose de fort ou faible pouvoir. Le résultat ? Les individus qui se tenaient comme des conquérants ont déclaré ressentir un degré de puissance plus important. 86 % d’entre eux étaient même prêts à parier de l’argent ! En comparaison, seulement 60 % des personnes adoptant une posture recroquevillée se sentaient suffisamment confiantes pour prendre ce risque.

Mais, ce n’est pas tout ! L’expérience a aussi démontré l’impact de la gestuelle sur la production de testostérone (hormone de la dominance) et de cortisol (hormone du stress). En moyenne, les participants en position de force ont ainsi vu leur taux de testostérone augmenter de 20 % et leur taux de cortisol chuter de 25 %. Au contraire, une baisse de 10 % du taux de testostérone et une hausse de 15 % du taux de cortisol ont été enregistrées sur le groupe d’individus en position de retrait.

Bref, si vous voulez gagner en assurance pour mieux gérer la pression, vous savez désormais ce qu’il vous reste à faire : apprendre à vous servir correctement de la power posture dans votre body language pour vous construire un mental d’acier.

Comment le mental d’acier développé par la power posture agit-il sur le corps ?

Ce n’est pas un secret : la tête commande le corps. Lorsque nous voulons réaliser une action, notre cerveau envoie un message et nos membres exécutent. Cela fonctionne aussi de manière inconsciente. Par exemple, une personne timide, réservée, angoissée ou peu confiante adoptera naturellement une posture repliée sur elle-même. À l’inverse, un leader emploiera instinctivement une gestuelle avec beaucoup de prestance. Dans les deux cas, l’ensemble des signaux de communication (intonation, regard, expressions faciales, mimiques, etc.) se mettra au diapason pour dégager des attitudes et des comportements personnels.

Mais, posons-nous également la question suivante : l’état d’esprit positif développé par l’utilisation quotidienne de la power posture provoque-t-il des effets bénéfiques pour l’organisme ? Même s’il y a encore beaucoup à découvrir, il ne fait aucun doute que le mental pèse sur le physique. Alors, la réponse est oui ! Dans ce sens, si vous êtes victime de stress chronique, vous avez des chances de ressentir régulièrement des douleurs musculaires. Certaines conséquences plus graves comme des troubles digestifs ou des problèmes cardio-vasculaires peuvent aussi se manifester. Par conséquent, en devenant plus décontracté et plus confiant grâce aux poses de pouvoir, vous éviterez ce genre de soucis.

D’autre part, si vous croyez suffisamment à l’impact favorable d’une posture de puissance, une sorte d’effet placebo pourrait contribuer à vous apporter de l’énergie. Eh oui ! En étant fermement convaincu qu’une position vous rendra quasiment indestructible, il est possible que vous envoyiez un signal à votre organisme pour le renforcer. Dès lors, vous vous sentirez automatiquement en meilleure forme mentale et physique pour obtenir « un esprit sain dans un corps sain » !

Power posture : les derniers conseils avant de passer à l’action

Vous avez décidé d’utiliser la power posture plus régulièrement pour améliorer votre état d’esprit ? C’est très bien ! Vous gagnerez ainsi en énergie, en assurance, en prestance et en influence. Néanmoins, si vous souhaitez profiter de ces incroyables bénéfices, vous devez apprendre à agir intelligemment. En effet, les poses de pouvoir sont synonymes de langage corporel dominant. En matière de communication non verbale, elles peuvent donc être perçues comme une forme d’arrogance. Alors, n’abusez pas !

Par exemple, se tenir comme Wonder Woman face à son patron est une attitude totalement contre-productive. En revanche, garder cette position pendant deux minutes dans un endroit calme juste avant un entretien d’embauche, une compétition sportive, un rendez-vous important ou une prise de parole devant un auditoire est une excellente idée. Après avoir fait cet exercice de préparation, vous serez plus détendu et vous vous sentirez d’attaque pour affronter l’épreuve à venir. D’ailleurs, pourquoi ne pas débuter chaque journée par certaines power poses ? Ce petit rituel pourrait faire une énorme différence à long terme !

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Suivre son Intuition : un Choix Audacieux, mais Tellement Utile !

Suivre son Intuition : un Choix Audacieux, mais Tellement Utile !

Vous avez du flair pour prévoir ce qui va se passer ? Vous vous trompez rarement sur les gens ? L’explication est simple : vous possédez d’excellentes capacités intuitives. Mais voilà, même s’ils sont extrêmement convaincants, les bons feelings et les mauvais pressentiments ont tendance à sortir de nulle part. Il n’est donc pas toujours évident de comprendre si ces messages informels sont à prendre au sérieux ou non. D’où viennent ces signaux particulièrement puissants ? Quand faut-il vraiment se fier à son instinct ? En quoi cette conviction viscérale qui défie parfois la logique peut-elle s’avérer utile ? Découvrez tout ce qu’il faut savoir pour suivre son intuition correctement et la développer de manière efficace !

Qu’est-ce que l’intuition ?

L’intuition est un sentiment spontané qui nous donne la conviction de pouvoir anticiper une situation sans recourir au raisonnement. Comme une sorte de sixième sens, elle nous apporte des informations subtiles pour nous permettre de deviner ce qui n’existe pas encore : le message du subconscient au conscient. Zoom sur un phénomène déroutant qui met au défi notre côté rationnel.

L’intuition : une capacité naturelle développée depuis la naissance

L’intuition n’est pas un don tombé du ciel. Nous possédons ce super-pouvoir depuis la naissance. En effet, lorsque nous arrivons au monde, nous sommes dans l’inconnu. Dès l’enfance, nous apprenons donc à utiliser nos cinq sens (la vue, l’ouïe, l’odorat, le goût et le toucher) pour comprendre notre environnement et développer une meilleure perception des éléments qui nous entourent.

En nous éveillant, nous enregistrerons aussi inconsciemment une énorme quantité de données moins formelles. D’apparence plus symboliques, ce sont ces dernières qui alimentent notre capacité intuitive et nous permettent d’avoir un esprit clairvoyant dans certaines situations.

L’intuition : un super-pouvoir subtil qui se manifeste subitement

À l’image du sens de l’araignée qui permet à Spider-Man de détecter le danger avant qu’il ne se présente, notre intuition se manifeste dans les moments importants. Bien qu’elle fonctionne souvent en arrière-plan, elle peut alors subitement se déclencher sous forme :

  • Mentale avec une voix intérieure ou une pensée furtive qui nous alerte et nous indique comment agir. C’est notamment le cas chez certains bons joueurs de poker.
  • Émotionnelle avec une réaction forte comme une peur soudaine ou une confiance absolue. À titre d’illustration, il est possible de sortir d’un entretien d’embauche avec la conviction profonde que l’on va être retenu pour le poste.
  • Physique avec par exemple une boule au ventre ou une douleur en cas de mauvais pressentiment. À l’inverse, on peut se réveiller avec plein d’énergie le matin lorsque notre intuition nous dit que la journée va bien se dérouler.

L’intuition : un formidable outil à manier avec précaution

Contrairement à la raison qui nous pousse à prendre nos décisions en fonction de la logique, l’intuition est beaucoup plus directe et impulsive. Face à ce constat, une question se pose : faut-il faire confiance les yeux fermés à cette force inexplicable sortie de nulle part ? En réalité, la réponse dépend de la situation.

Un sportif expérimenté qui doit anticiper un mouvement adverse peut évidemment suivre son intuition sans problème. Pourquoi ? Parce que le signal qu’il reçoit découle des nombreuses informations enregistrées inconsciemment tout au long de sa carrière. Concrètement, il évolue dans un environnement prévisible au sein duquel il est capable de sentir les bons coups.

En revanche, un parieur qui mise une grosse somme d’argent au casino prend beaucoup de risques en se fiant uniquement à son instinct. En effet, malgré sa grande conviction, son succès ou son échec sera exclusivement lié au hasard.

Pourquoi suivre son intuition est-il tellement utile ?

L’intuition nous installe immédiatement dans un état de certitude puissant et très tentant, mais malheureusement impossible à vérifier sur l’instant. Dans le doute, beaucoup de personnes résistent et décident de ne pas écouter leur ressenti intérieur. Et pourtant, même si ce choix peut paraître fou, suivre son intuition est tellement utile dans la vie. Voyons ensemble pourquoi.

Suivre son intuition pour avoir moins de regrets au quotidien

Quand les enjeux sont élevés, nous sommes souvent partagés entre le désir de gagner et la peur de perdre. Pour éviter de se tromper, il semble alors rassurant de se fier à la logique. Néanmoins, vous êtes-vous déjà dit un jour que vous auriez dû vous écouter ? Probablement ! Les regrets sont toujours importants lorsqu’on échoue après être allé à l’encontre de son intuition. Au quotidien, il est donc parfois préférable d’oser se lancer avec la volonté de réussir, quitte à s’apercevoir ensuite de ses erreurs.

Faire confiance à son intuition pour combattre ses croyances limitantes

Nos actions peuvent être bridées par des convictions profondes développées au fil du temps. Par exemple, quelqu’un ayant subi plusieurs échecs peut finir par penser qu’il est né sous une mauvaise étoile. C’est ce que l’on appelle une croyance limitante ! En voyant le même scénario se répéter sans cesse, l’individu sera persuadé que les choses tourneront systématiquement en sa défaveur. En conséquence, il ne prendra plus aucun risque. Et pourtant, quelques succès acquis en suivant son intuition pourraient l’aider à changer d’état d’esprit pour sortir de ce cercle vicieux.

Écouter son intuition pour gagner en confiance

En utilisant régulièrement votre intuition, vous en apprendrez davantage sur votre manière de fonctionner. Vous repérerez des schémas gagnants, détecterez certains signes avant-coureurs et deviendrez beaucoup moins influençable. Grâce à tout cela, vous arriverez progressivement à agir en pleine conscience pour prendre de meilleures décisions. À force de faire des choix payants à l’aide de votre sixième sens, vous gagnerez alors inévitablement en confiance.

Comment développer son intuition efficacement sur la durée ?

Vous l’avez compris : suivre son intuition est particulièrement utile dans la vie. Néanmoins, peut-on mettre en place des actions concrètes pour développer ses capacités intuitives sur la durée ? La réponse est oui. Découvrez donc comment réussir efficacement !

Lâcher prise pour laisser son intuition s’exprimer

Dans une société où la vitesse impose désormais sa loi, notre esprit est envahi par toutes sortes de pensées. Sans cesse préoccupés, nous avons d’ailleurs pris l’habitude de vouloir maîtriser un maximum de paramètres. Le problème, c’est que votre intuition n’a aucune chance de s’exprimer correctement si vous cherchez en permanence à contrôler vos émotions et vos réactions. Alors, lâchez prise et arrêtez de trop réfléchir au quotidien ! Vous pourrez ainsi laisser libre cours à votre instinct plus facilement.

Apprendre à reconnaître les signaux de l’intuition

Comme nous l’avons vu précédemment, l’intuition peut se manifester de manière mentale, émotionnelle ou physique. Pour l’appréhender correctement, vous devez donc rester attentif aux signaux qui vous sont envoyés. Dans ce sens, gardez votre esprit ouvert et prenez le temps d’écouter vos ressentis sans les juger. Grâce à cette nouvelle habitude, vous interpréterez beaucoup mieux les alertes reçues. Vous arriverez ainsi progressivement à savoir quand vous pourrez faire confiance à votre instinct.

S’entraîner régulièrement à suivre son intuition

Vous voulez affiner votre intuition ? Alors, entraînez-vous d’abord à suivre votre instinct dans des situations sans enjeux ! Au début, vous prendrez certainement quelques mauvaises décisions. Mais, ne doutez pas ! L’erreur est un excellent moyen d’apprentissage. Lorsque vous en faites, vous enregistrez des informations utiles sur les actions à ne pas répéter. À l’inverse, les succès sont précieux pour identifier des schémas gagnants. En multipliant les expériences de plus en plus intenses, vous allez donc vous constituer une base de données interne sur ce qu’il faut faire ou ne pas faire dans une situation. Ainsi, dès que vous vous retrouverez dans un contexte que vous avez déjà vécu, votre intuition se manifestera comme un réflexe salutaire.

Suivre son intuition : le mot de la fin

Suivre son intuition est un choix audacieux. Faut-il faire confiance à ses ressentis intérieurs ou se ranger du côté de la raison ? C’est le grand dilemme ! Néanmoins, comme vous le savez désormais, votre sixième sens sera un allié précieux au quotidien. Alors, ne l’ignorez pas ! Essayez plutôt de développer ce super-pouvoir acquis à la naissance pour l’utiliser efficacement dans votre vie.

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Les Bienfaits du Rire : 8 Raisons de Se Marrer au Quotidien

Les Bienfaits du Rire : 8 Raisons de Se Marrer au Quotidien

Vous vous sentez beaucoup mieux après avoir explosé de rire ? C’est normal, rigoler c’est vital ! Que ce soit au niveau émotionnel, mental ou physique, ça fait un bien fou de se marrer. C’est parfois même une thérapie ! Mais voilà, l’enfant rieur que nous étions s’est progressivement transformé en adulte sérieux. Avec le poids des responsabilités qui se fait sentir, nous avons tendance à oublier notre capacité à plaisanter. Et c’est vraiment dommage ! Les bienfaits du rire sont trop nombreux pour en faire abstraction. Découvrez donc sans plus attendre 8 raisons de bien se marrer au quotidien.

1. Le rire est un bouclier contre les émotions négatives

Rigolez autant que possible dans la vie pour garder le moral ! En vous marrant un bon coup, vous produisez ce que l’on appelle des endorphines. Ces « hormones du bonheur » déclenchent en quelques instants des sensations de bien-être, de joie et de plaisir. Votre esprit se libère alors complètement pour vous faire entrer dans une phase de « positive attitude ». Cela peut d’ailleurs aller jusqu’à l’euphorie ou l’extase !

En lâchant prise par le rire et en conservant votre bonne humeur, vous repousserez donc les charges émotionnelles négatives comme l’anxiété, la colère ou la tristesse. Finalement, vous serez également moins sujet aux dépressions et dormirez même beaucoup mieux !

2. Le rire agit comme un formidable antistress

Le plaisir qui découle d’une bonne rigolade n’est pas éternel. En revanche, il est très intense. Par conséquent, lorsque vous avez fini de vous esclaffer, votre corps ressent le besoin de recharger les batteries. En vous remettant de vos émotions, vous décompressez donc de manière naturelle et devenez bien plus détendu.

Mais, ce n’est pas tout ! La production d’endorphine fait aussi chuter vos taux de cortisol (hormone du stress) et d’adrénaline (hormone de survie). On estime d’ailleurs qu’une minute passée à se marrer équivaut à 45 minutes de relaxation ! Le rire sera donc un allié de poids pour vous aider à trouver de l’apaisement dans les moments de stress.

3. Le rire favorise les bonnes relations sociales

Rire aux éclats illuminera votre visage. Eh oui ! Avec un beau sourire et un excellent sens de l’humour, vous rayonnerez plus qu’en faisant une tête d’enterrement. Alors, tant que vous restez bienveillant et ne cherchez pas à imiter le Joker, ne vous privez jamais de rigoler ! Vous communiquerez ainsi votre bonne humeur et enverrez des ondes positives. Bref, l’idéal pour attirer les gens vers vous et tisser des relations sociales !

Éclater de rire vous permettra également de créer une connexion avec les autres. En vous marrant, vous serez contagieux et entraînerez les personnes qui vous entourent pour rendre l’ambiance conviviale. Que ce soit en famille, au travail ou avec vos amis, votre capacité à garder le smile vous aidera enfin à maintenir une parfaite entente, devenir un moteur de cohésion et désamorcer les conflits. Comme quoi, les bienfaits du rire concernent aussi les rapports humains.

4. Le rire renforce la confiance en soi

Le rire est une extériorisation puissante. Lorsque vous rigolez en public, vous dévoilez clairement vos émotions et les gens comprennent immédiatement que vous avez trouvé un fait amusant ou une blague drôle. Vous devez donc assumer ! Cette situation peut vous paraître gênante, mais plus vous la vivrez, plus vous vous sentirez à l’aise pour exprimer ce que vous ressentez.

Vous pouvez même apprendre à maîtriser l’autodérision. Rire de ses maladresses ou de ses petits défauts est extrêmement libérateur. En fin de compte, vous dédramatiserez, relativiserez et décomplexerez pour mieux vous accepter. Parfait pour booster sa confiance en soi, non !

5. Le rire atténue les douleurs physiques

Vous recherchez un antidouleur efficace, gratuit et 100 % sain ? Marrez-vous à fond, le rire est thérapeutique ! La raison ? Les endorphines ! Grâce à la sensation de bien-être qu’elles procurent, ces dernières font diversion pour nous faire oublier nos maux. Elles possèdent également des effets antalgiques qui inhibent temporairement nos douleurs.

Bref, pour vous changer les idées après une blessure, mieux vaut rigoler que pleurer ! D’ailleurs, les médecins prennent très au sérieux les bienfaits du rire sur la souffrance. Des hôpitaux font même régulièrement appel à des clowns professionnels en pédiatrie pour amuser les enfants malades et faciliter les traitements éprouvants physiquement.

6. Le rire préserve des problèmes de santé

Vous voulez rester en bonne santé ? Plusieurs études ont démontré les bienfaits du rire sur le système immunitaire. Le Dr Lee S. Berk, professeur à l’Université de Loma Linda en Californie, affirme notamment que rigoler plusieurs minutes boosterait la production d’anticorps dans les voies respiratoires et les muqueuses nasales. De quoi vous protéger contre les virus, les bactéries et toutes sortes de microbes !

En plus, le rire est excellent pour votre système cardio-vasculaire. Il va stimuler votre circulation sanguine et améliorer l’oxygénation de votre cœur. Une fois remis de vos émotions, votre fréquence cardiaque redescendra et votre pression artérielle diminuera. Vous l’aurez donc compris : rire de bon cœur peut vous éviter l’infarctus !

7. Le rire procure des bienfaits pour la respiration et la digestion

Vous vous sentez essoufflé après un fou rire ? C’est parce que vous avez expiré énormément d’air. Mais, pas de panique ! En réaction à ce phénomène, vos alvéoles pulmonaires se dilateront et vos bronches s’ouvriront davantage pour inspirer plus facilement. Avec des poumons désormais vidés, vous absorberez également plus d’oxygène qu’au repos et augmenterez vos échanges respiratoires.

L’autre avantage du rire sur votre organisme, c’est qu’il va optimiser votre digestion. Comment ? Grâce à la contraction de vos abdominaux et de votre diaphragme qui va masser votre estomac, vos intestins, votre rate, votre foie ou encore votre pancréas. Bref, l’idéal pour améliorer votre transit !

8. Le rire permet d’entretenir quotidiennement son corps

Selon le Dr Maciej Buchowski de l’Université Vanderbilt aux États-Unis, se marrer 10 à 15 minutes permettrait de brûler jusqu’à 40 calories. Le professeur Keiko Hayashi de l’Université de Tsukuba au Japon précise qu’assister à un spectacle humoristique après le repas ferait baisser le taux de glycémie dans le sang. La conséquence ? Un ralentissement de la production d’insuline, qui est une hormone responsable de la prise de poids.

Bien évidemment, ne remplacez pas vos séances de sport par un marathon des 10 saisons de Friends en espérant maigrir sans effort ! Si vous recherchez un régime efficace, combinez plutôt les activités physiques et les moments de franches rigolades. Et comme ce travail doit être régulier, prenez l’habitude de rire à gorge déployée !

Les bienfaits du rire : le mot de la fin

Et voilà ! En prenant conscience des bienfaits du rire, vous n’aurez plus aucune raison de passer votre temps à vous morfondre sans rigoler. En fait, vous avez même désormais 8 motivations supplémentaires pour vous marrer au quotidien. Alors, profitez de la vie et amusez-vous pour le meilleur… et pour le rire !

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Accepter les Critiques : un Atout Majeur pour Progresser

Accepter les Critiques : un Atout Majeur pour Progresser

Vous détestez que les autres vous fassent des remarques ? Eh oui ! La critique est facile, mais personne n’aime se retrouver au centre des critiques. C’est paradoxal, mais sans équivoque ! Au quotidien, il nous arrive parfois de commenter le comportement ou les choix d’une personne. Nous sommes également amenés à donner notre avis sur des œuvres artistiques ou des performances sportives. Cependant, une fois de l’autre côté de la barrière, la situation est moins agréable à vivre. Nous pouvons avoir le sentiment de faire l’objet d’un procès immérité. Et pourtant, savoir accepter les critiques est un véritable atout pour progresser. Comment ? Apprenez-le en lisant attentivement cet article !

Qu’est-ce qu’une critique ?

La critique se définit comme l’art de porter un jugement sur quelqu’un ou quelque chose. Elle peut être lancée par un proche, un professeur, un collègue, un client, un concurrent, un journaliste ou même un inconnu. Néanmoins, plutôt que de se limiter à cette explication basique, analysons les spécificités de la critique pour mieux l’appréhender, l’interpréter et surtout l’accepter.

La critique : un jugement négatif… ou positif

Vous percevez la critique comme étant purement négative ? Détrompez-vous ! Elle peut aussi être positive. Par exemple, durant votre entretien d’évaluation, votre manager est susceptible de se montrer péjoratif sur certains aspects de votre travail. Cependant, s’il vous précise que vous êtes fiable ou bien organisé, il est également en train de vous critiquer. Sauf que cette fois, sa critique est positive !

Idem avec un commentateur sportif. Ce dernier peut décrier un footballeur pour sa mauvaise qualité technique, tout en louant son superbe esprit d’équipe. Son analyse n’est donc pas forcément noire ou blanche.

La critique : une remarque qui doit être constructive

Positives ou négatives, seules les critiques constructives ont un véritable intérêt pour s’améliorer. Par exemple, que se passerait-il si l’on répétait sans fondement à un jeune tennisman qu’il est plus talentueux que les meilleurs joueurs de l’histoire au même âge ? La réponse : il se reposerait sur ses lauriers et ne progresserait pas !

Inversement, quelles seraient les conséquences s’il subissait quotidiennement des commentaires comme « Tu es nul ! » ou « Change de sport ! » ? À moins d’une très grosse force de caractère, il risquerait de se braquer, de se résigner ou d’abandonner. Par contre, si l’analyse était plus précise et objective, il la comprendrait et pourrait mieux accepter les critiques.

En quoi accepter les critiques permet-il de progresser ?

Vous entendez souvent que la critique fait avancer ou que toutes les remarques constructives sont bonnes à prendre ? Ces phrases sont faciles à dire, mais totalement inutiles sans explication. Par conséquent, voyons en quoi apprendre à accepter les critiques peut concrètement vous permettre de progresser.

Les critiques aident à mettre en lumière des axes d’amélioration

Quand elles sont défavorables, les critiques peuvent faire extrêmement mal. Le signal négatif reçu est tellement puissant et désagréable, qu’il en devient particulièrement déstabilisant. Pourtant, si les commentaires restent constructifs, ils apportent un regard extérieur intéressant sur nos actions. Alors, concentrez-vous toujours sur l’occasion de progresser qui se cache derrière un reproche !

Dans ce sens, interrogez votre détracteur pour comprendre le fond du problème et faites votre autocritique. Cette démarche vous permettra de mettre en lumière un ou plusieurs axes d’amélioration dans votre manière de fonctionner. Vous avancerez ainsi dans la bonne direction pour devenir meilleur.

Les critiques sont utiles pour apprendre à accepter ses défauts

Les personnes qui n’acceptent pas les critiques négatives fondées manquent souvent d’objectivité et s’imaginent généralement que l’on s’attaque directement à elles. Pourquoi pensent-elles cela ? Parce qu’elles sont touchées dans leur orgueil et n’arrivent pas à admettre qu’elles ne sont pas parfaites.

Et pourtant, en étant ouvert à la critique et en reconnaissant vos failles, vous évoluerez mentalement et prendrez moins les choses à cœur. Regardez chez les super-héros : combien de fois a-t-on dû reprocher à Wolverine d’être insociable et d’avoir un mauvais caractère ? À force d’entraînement, il a réussi à contrôler ses défauts pour les transformer en forces. Le marginal a même rejoint une équipe : les X-Men !

Comment bien réagir face aux critiques négatives ?

À l’inverse des critiques positives qui font toujours plaisir, les critiques négatives sont plus difficiles à encaisser. Néanmoins, prendre la fuite ou vous cacher ne vous aidera pas à les surmonter. Voici donc quelques conseils pour faire face intelligemment à vos détracteurs.

Rester calme et écouter son interlocuteur

Même si vous ressentez de l’énervement ou de la frustration en subissant une critique négative, ne vous laissez pas emporter par vos émotions en réagissant sous le coup de la colère. Au contraire, gardez votre sang-froid et écoutez avec attention votre interlocuteur. En restant calme, vous pourrez ainsi mieux comprendre son point de vue et disposerez de tous les éléments pour apporter une réponse adaptée.

Prendre le temps d’analyser les critiques négatives

Vous venez d’essuyer une critique, mais avez su faire preuve d’un calme olympien ? Félicitations ! Vous pouvez désormais prendre du recul pour analyser profondément ce qui vous a été reproché. Dans cette optique, répondez honnêtement aux deux questions suivantes :

  1. Avez-vous fait l’objet d’une critique fondée ou d’une attaque personnelle pour vous blesser ?
  2. La critique reçue est-elle constructive pour vous aider à progresser ou trop imprécise pour être utile ?

Le ton employé ou la forme du message envoyé peut vous donner des indices suffisamment clairs pour comprendre la volonté de votre interlocuteur. Néanmoins, n’hésitez pas à en discuter avec une personne neutre pour vous aider à éclaircir la situation.

Adapter sa réponse à la critique négative reçue

Devez-vous toujours accepter les critiques négatives ? Non, vous n’êtes pas un punching-ball ! Si vous estimez qu’un commentaire n’est pas justifié et relève uniquement de la jalousie, de la méchanceté ou de la rivalité, vous pouvez :

  • signifier poliment que vous avez entendu la remarque, mais qu’elle n’a aucune importance pour vous ;
  • ne pas perdre votre temps et votre énergie à réagir.

En revanche, si la critique est fondée et constructive, gardez un état d’esprit positif! Dans ce sens, reconnaissez vos erreurs sans vous rabaisser et approfondissez la discussion pour en tirer des enseignements. En admettant officiellement que vous avez une marge d’amélioration, vous démontrerez votre excellente capacité de remise en question, mais ferez surtout le premier pas sur le chemin de la progression.

Accepter les critiques : le mot de la fin

Vous l’avez maintenant compris : savoir accepter les critiques est un atout majeur pour progresser. Bien sûr, vous ne changerez pas en un claquement de doigts. Apprendre à gérer les reproches demande beaucoup de travail sur soi. Mais, en vous entraînant à maîtriser ce super-pouvoir, vous pourrez vous perfectionner tout au long de votre vie. Alors, passez à l’action !

Pour conclure, voici ce que vous devez retenir :

  • une critique peut être positive ou négative ;
  • seules les critiques constructives et justifiées ont de l’intérêt ;
  • les critiques permettent d’identifier des axes d’amélioration ;
  • rester ouvert aux critiques est utile pour accepter ses défauts ;
  • il faut écouter et analyser les critiques pour répondre intelligemment.

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Vaincre le Syndrome de l’Imposteur : les 4 Clés du Succès

Vaincre le Syndrome de l’Imposteur : les 4 Clés du Succès

Vous pensez ne pas mériter votre diplôme ou votre nouveau poste ? Vous comparez sans cesse vos victoires à des hold-up ? Vous vous sentez indigne des compliments que vous recevez ? Faites attention, vous êtes probablement atteint du syndrome de l’imposteur. Les personnes qui éprouvent ce sentiment d’illégitimité justifient leur succès par toutes sortes d’éléments sauf leurs propres capacités. Leurs mots préférés ? La chance, le hasard et les concours de circonstances. Ces individus sont même persuadés que la vérité sur leur incompétence éclatera tôt ou tard. Vous vous reconnaissez dans ce portrait ? Vous en avez marre de plomber votre moral avec cet état d’esprit négatif ? Découvrez sans plus attendre les 4 clés du succès pour vaincre le syndrome de l’imposteur.

1. Prendre conscience de son syndrome de l’imposteur

Se débarrasser du syndrome de l’imposteur demande un véritable travail sur soi. Pour venir à bout de ce fléau, la première étape sera donc de comprendre comment il se manifeste chez vous. Dans ce sens, commencez par répondre aux questions suivantes :

  • Pensez-vous être surcoté ?
  • Avez-vous peur d’être évalué ?
  • Craignez-vous que les gens réalisent que vous êtes incompétent ?
  • Attribuez-vous vos victoires à la chance ?
  • Pensez-vous être incapable de répéter un succès ?
  • Avez-vous honte d’échouer ?
  • Êtes-vous généralement déçu de vous-même ?
  • Pensez-vous que les autres sont meilleurs que vous ?
  • Avez-vous tendance à négliger ou à banaliser vos accomplissements ?
  • Êtes-vous mal à l’aise lorsque vous recevez des compliments ?
  • Évitez-vous de parler de vos réussites ?

Si vous avez répondu « oui » à certaines de ces questions, pensez aux situations durant lesquelles ces sentiments apparaissent et réfléchissez aux inconvénients que cela vous pose. Même si cette démarche peut sembler inquiétante, vous commencerez à prendre réellement conscience du problème et de ses conséquences. Vous pourrez donc partir dans la bonne direction pour vaincre le syndrome de l’imposteur.

2. Se libérer mentalement de l’emprise du perfectionnisme

Vous avez l’impression d’être mauvais, même quand vous remplissez vos objectifs ? Vous n’acceptez aucun défaut et pensez que votre incompétence sera démasquée à la moindre erreur ? Cette sensation vous envahit au travail, mais aussi à la maison et dans vos loisirs? Attention, vous êtes trop perfectionniste ! Vous devrez vous libérer de l’emprise de ce comportement pour vaincre le syndrome de l’imposteur.

En effet, lorsque vous visez l’excellence, il y a une limite que vous ne devez jamais franchir : celle de vous fixer des objectifs irréalistes en recherchant la perfection à tous les niveaux. À force d’échouer dans cette quête du résultat impossible à atteindre, vous douterez de vos compétences et aurez encore plus le sentiment d’être un usurpateur. Pire, vous ne vous rendrez même pas compte que personne n’aurait fait mieux à votre place.

Alors, prenez du recul par rapport au niveau d’exigence que vous vous imposez. Vous ne serez jamais Superman et n’avez pas besoin d’être parfait. D’ailleurs, même lui ne l’est pas ! Si vous donnez le meilleur de vous-même et si vous ne trichez pas, vous produisez déjà du travail de qualité. En cas de revers, dites-vous simplement que l’échec permet d’apprendre et de progresser. Il ne remet pas en cause vos compétences et fait encore moins de vous un imposteur.

3. Évaluer ses accomplissements pour vaincre le syndrome de l’imposteur

Vous craignez sans cesse de ne pas être à la hauteur ? Vous êtes persuadé que les gens vous surestiment ? Arrêtez de vous monter la tête ! Si votre employeur a décidé de vous accorder une promotion, ce n’est pas pour vous faire plaisir. Ça veut dire que vous faites du bon travail ! De même, si vous avez été sélectionné pour faire partie d’une équipe, ce n’est pas une question de chance. Cela signifie que vos qualités et votre potentiel ont été remarqués.

Alors, détendez-vous ! Vous n’êtes pas un imposteur et vos compétences sont bien réelles. Pour vous en convaincre, évaluez vos accomplissements :

  • Qu’avez-vous réalisé de satisfaisant dans votre vie ?
  • Quels sont vos plus grands succès ?
  • Quels challenges avez-vous su relever ?
  • De quoi êtes-vous particulièrement fier ?

En répondant à ces questions, vous vous rendrez compte que vous possédez d’excellentes capacités. Cette nouvelle perception de vous-même vous aidera à prendre confiance pour combattre le syndrome de l’imposteur. Ainsi, ne dévalorisez jamais vos réussites ! Elles ne sont pas le fruit du hasard. Dans une logique similaire, appuyez-vous sur les compliments que vous recevez. Ces derniers sauront parfaitement vous rassurer sur votre légitimité.

4. Arrêter de se comparer systématiquement aux autres

Malgré vos succès, vous pensez que vos collègues, vos amis ou les membres de votre famille sont meilleurs que vous ? Peu importe, cela ne change rien à vos compétences ! Alors, pourquoi vouloir faire des comparaisons ? En minimisant votre réussite et en glorifiant celle des autres, vous risquez de développer un sentiment d’infériorité qui nourrira encore plus votre syndrome de l’imposteur. Et cela, en dépit du fait que vous soyez très bon !

Lors d’une compétition, pensez-vous que le champion triomphe par erreur ? Évidemment, non ! Ce n’est pas un usurpateur. Sans travail et sans qualités, il n’en serait pas arrivé là. D’un autre côté, croyez-vous qu’un médaillé d’argent ou de bronze soit mauvais parce qu’il n’a pas l’or autour du cou ? Encore une fois, non ! Le podium ne sera peut-être pas le même la prochaine fois. C’est bien pour cela que les athlètes se focalisent sur eux-mêmes et évitent de se comparer à leurs adversaires.

Dans la vie quotidienne, le fonctionnement est similaire. Vos accomplissements sont dus à vos compétences et à vos efforts. Alors, inutile de vous comparer aux autres pour vous persuader que vous avez eu de la chance. De plus, si vous trouvez que certains réussissent mieux que vous, n’en profitez pas pour vous dévaloriser. Ne pas être le meilleur dans un domaine n’a jamais signifié être nul. Gardez toujours cela à l’esprit et vous avancerez dans la bonne direction pour surmonter le syndrome de l’imposteur.

Vaincre le syndrome de l’imposteur : le mot de la fin

Et voilà ! Vous savez désormais comment venir à bout du syndrome de l’imposteur. Néanmoins, ne croyez pas que posséder les bonnes armes rendra le combat facile. Pour le remporter, vous aurez besoin d’alliés importants : la patience et la constance. Ces derniers joueront un rôle crucial dans votre victoire. Enfin, souvenez-vous toujours d’une chose : vous êtes le seul à vous considérer comme un imposteur. Alors, soyez également indulgent et bienveillant envers vous-même !

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Comment Identifier ses Talents ? | Tour d’Horizon Complet

Comment Identifier ses Talents ? | Tour d’Horizon Complet

Vous admirez les talents des autres, mais ne savez pas quels sont les vôtres ? Vous aimeriez découvrir les activités pour lesquelles vous êtes naturellement doué ? Alors, cet article est fait pour vous ! Beaucoup de personnes n’ont pas conscience de l’étendue de leur potentiel. Elles banalisent tellement leur aisance à réaliser une action, qu’elles ne se rendent pas compte qu’il s’agit d’un véritable don. Et pourtant, que nos capacités innées se révèlent durant notre enfance, notre adolescence ou notre vie d’adulte, elles sont bien présentes ! Comment identifier ses talents ? Comment réveiller ces super-pouvoirs qui sommeillent en nous ? Tour d’horizon complet sur le sujet.

Qu’est-ce qu’un talent ?

Vous êtes excellent dans un domaine ? Aucun doute, vous possédez des compétences. Néanmoins, il est trop tôt pour les qualifier de talents. Les deux notions se ressemblent, mais elles sont différentes sur le fond. Pour vous aider à saisir la nuance, définissons les caractéristiques d’un talent.

Le talent : un mariage entre facilité et plaisir

Le talent est inné. Il nous procure également une certaine forme de jouissance lorsqu’on l’exprime. C’est ce mariage entre facilité et plaisir qui rend nos actions si fluides. Par exemple, un artisan n’ayant aucune expérience dans la vente peut réussir à séduire et fidéliser des clients sans difficulté grâce à son discours. Dans ce cas, il est possible qu’il soit naturellement doué pour le négoce et qu’il prenne du plaisir à promouvoir ses produits. Il devra néanmoins cultiver son talent commercial sur le long terme.

Légèrement différente, la compétence s’acquiert par la formation et l’expérience. Elle rend efficace, mais n’apporte pas nécessairement la même dose de plaisir que le talent. Par exemple, un commercial peut obtenir d’excellents résultats en appliquant les techniques de vente qu’il a étudiées. Ses compétences lui permettent d’être performant, voire même meilleur que les talentueux qui n’ont pas travaillé. Il sera heureux de ses succès, mais n’aura pas forcément ressenti un plaisir intense.

Le talent : une capacité constamment démontrable, mais pas forcément spectaculaire

Seule votre aptitude à reproduire régulièrement une performance démontrera que vous êtes talentueux. En effet, vous n’êtes pas Robin des Bois parce que vous atteignez une fois le milieu de la cible. En revanche, si vos dix premières flèches finissent au centre, vous avez probablement un don pour l’exercice.

Par ailleurs, l’aspect spectaculaire n’entre pas en ligne de compte pour identifier ses talents. Être naturellement doué ne signifie pas forcément être Simone Biles ou Roger Federer. C’est même cette manière de penser qui empêche certaines personnes de repérer leurs capacités innées. Savoir donner le sourire aux autres ou maîtriser l’art du tricot, ce sont aussi de véritables talents.

3 techniques efficaces pour identifier ses talents

Depuis votre enfance, vos talents ont eu l’occasion de s’exprimer à plusieurs reprises. Si certains vous semblent évidents, vous n’êtes peut-être pas conscient des autres. Dans ce sens, voici 3 techniques efficaces pour identifier ses talents.

1. Faire une introspection pour découvrir son potentiel

L’introspection est une excellente méthode pour découvrir son potentiel. Ainsi, prenez le temps de la réflexion et posez-vous les questions suivantes :

  • Quelles sont mes plus grandes réussites ?
  • Dans quels domaines suis-je performant ?
  • Quelles actions suis-je capable d’accomplir avec aisance ?
  • Quelles tâches ai-je l’habitude de réaliser sans voir le temps passer ?
  • Quelles activités me procurent du plaisir ?
  • Que ferais-je si j’avais carte blanche ?

En faisant ce travail, ne restez pas focalisé sur le présent. Souvenez-vous des activités que vous aimiez et pour lesquelles vous étiez doué autrefois. Vous les avez peut-être oubliées, mais elles représentent une piste sérieuse pour identifier vos talents.

Par exemple, vous excelliez dans les sports collectifs durant votre adolescence ? Vous avez toujours adoré mobiliser vos proches autour de projets ? Ces derniers s’adressent en priorité à vous pour organiser leurs événements ? Sans vous en rendre compte, vous pourriez posséder un talent de manager ou de coordinateur d’équipe. Vous comprenez l’idée ? Alors, passez à la loupe vos succès, vos facilités, vos passions et vos envies depuis votre enfance.

2. Interroger son entourage pour prendre conscience de ses talents

Pour identifier ses talents, faire appel à son entourage s’avère particulièrement efficace. Que ce soient vos amis, vos collègues ou des membres de votre famille, ces personnes vous connaissent suffisamment pour vous aider à évaluer plus précisément votre potentiel. Ainsi, après leur avoir expliqué les raisons pour lesquelles vous souhaitez les interroger, demandez-leur de vous citer :

  • les talents qu’elles perçoivent en vous ;
  • les domaines dans lesquels vous les étonnez par votre aisance ;
  • les qualités qu’elles admirent chez vous ;
  • des exemples concrets de situations où vous les avez impressionnées.

Dans le cadre de cet exercice, orientez-vous vers des individus bienveillants à votre égard. L’idée n’est pas de pointer vos défauts, mais de révéler vos talents. Les réponses obtenues confirmeront peut-être les résultats de votre introspection. Il est également possible que vous vous découvriez des capacités insoupçonnées. Par exemple, les gens aiment vous entendre raconter des histoires parce que vous savez transmettre de l’émotion. Et si vous aviez un talent caché de communicant ?

3. Multiplier les expériences pour révéler ses talents cachés

Nous avons tous des capacités spéciales qui ne demandent qu’à éclater au grand jour. Parmi les êtres humains, il existe bien évidemment des prodiges qui réalisent très tôt des prouesses avec une facilité incroyable. Néanmoins, même Mozart et Tiger Woods ont dû travailler d’arrache-pied pour réussir ! Eh oui, si vous comptez uniquement sur la chance, vous risquez d’attendre très longtemps avant de voir émerger vos talents.

Par conséquent, n’hésitez pas à multiplier les expériences ! Tester de nouvelles activités et s’ouvrir aux opportunités qui s’offrent à vous pourrait vous mener tout droit à la découverte d’un talent caché. Ce dernier est probablement resté enfoui de nombreuses années, car il lui manquait le bon contexte pour s’exprimer ou parce que vous ne l’avez pas assez exercé. Alors, bossez, soyez rigoureux et osez l’inhabituel pour provoquer votre destin !

Identifier ses talents : le mot de la fin

Nous arrivons à la fin de ce tour d’horizon permettant de comprendre comment identifier ses talents. En guise de conclusion, voici un rappel des éléments importants à retenir :

  • le talent est une capacité innée, source de plaisir et facile à exercer ;
  • le talent se démontre constamment, mais n’est pas forcément spectaculaire ;
  • l’introspection permet de découvrir son potentiel ;
  • interroger son entourage aide à prendre conscience de ses talents ;
  • tester de nouvelles activités est utile pour révéler ses talents cachés.

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Faire preuve de résilience : un super-pouvoir pour rebondir

Faire preuve de résilience : un super-pouvoir pour rebondir

La résilience : mais, d’où sort ce mot ? En 2020, Emmanuel Macron l’a prononcé pour nommer l’opération militaire de lutte contre la pandémie de Covid-19. En réalité, il a été popularisé en France par le neuropsychiatre Boris Cyrulnik. Ce dernier s’est lui-même inspiré des travaux du psychiatre britannique John Bowlby, qui qualifiait la résilience de « ressort moral ». En effet, dans la langue de Shakespeare, les mots resiliency et resilience veulent dire à la fois ressort, élasticité et résistance. On retrouve donc des notions d’adaptation, de souplesse et de robustesse. Faire preuve de résilience, c’est finalement comme le roseau de Jean de La Fontaine qui plie, mais ne rompt pas. Ça vous intrigue ? Vous voulez en savoir plus sur ce super-pouvoir ? Toutes les informations se trouvent dans cet article.

Qu’est-ce que la résilience ?

La résilience désigne la capacité des individus à rebondir après un traumatisme. Celle de surmonter les expériences douloureuses pour se reconstruire et retrouver une vie épanouie. Vous avez réussi à poursuivre votre développement personnel après une tragédie ? Alors, vous faites partie des résilients !

Les mots « traumatisme » et « tragédie » vous évoquent peut-être des situations extrêmes comme :

  • la maladie ;
  • le handicap ;
  • la perte d’un proche ;
  • le burn-out ;
  • les agressions physiques et morales ;
  • les catastrophes naturelles ;
  • etc.

Eh bien, sachez que la résilience ne s’applique pas uniquement aux personnes qui ont survécu à ce genre d’épreuves. Vous avez déjà été confronté à un échec professionnel, une déception amoureuse ou encore une défaite en compétition ? Vous vous êtes battu pour remonter la pente ? Alors, vous avez su faire preuve de résilience !

Finalement, retenez la définition suivante : la résilience est une force mentale qui permet de transformer l’énergie négative en énergie positive pour surmonter les coups durs et devenir encore meilleur. Bref, un vrai super-pouvoir !

Comment fonctionne la résilience en psychologie ?

La résilience psychologique est un concept qui fonctionne en 3 étapes. Pour comprendre le processus, analysons-le en prenant l’exemple d’un super-héros : Batman.

Étape 1 : la résistance au traumatisme

Après une expérience douloureuse, une personne résiliente commence par résister. Pour cela, elle développe des mécanismes comme :

  • la défense ;
  • l’humour ;
  • l’altruisme ;
  • la positivité ;
  • la créativité ;
  • l’indifférence ;
  • etc.

Dans la version de Batman racontée par Christopher Nolan, Bruce Wayne subit deux chocs émotionnels durant son enfance :

  1. Il tombe dans un puits envahi par des chauves-souris et développe une phobie pour cet animal.
  2. Il assiste au meurtre de ses parents après que sa famille ait quitté l’opéra, car le spectacle avait réveillé son angoisse du mammifère volant.

Pour ne pas sombrer, il se promet de rendre un jour la justice. Ainsi, il résiste à son traumatisme en se donnant une raison d’avancer.

Étape 2 : l’adaptation à la situation

Après la phase de résistance, un individu résilient s’adapte à la situation. Il réapprend à vivre, se remet à espérer et envisage de nouveaux projets.

Bruce Wayne s’adapte en adoptant un comportement altruiste. Désireux de protéger les personnes sans défense, il part étudier les arts martiaux, s’entraîner physiquement et développer ses capacités pour combattre le crime.

Étape 3 : la croissance post-traumatique

Dernière étape du mécanisme de résilience, la croissance post-traumatique est une transformation profonde dans sa manière d’appréhender la vie.

Le symbole de la croissance post-traumatique de Bruce Wayne est évident : il devient Batman, un super-héros. Son costume de chauve-souris prouve qu’il a surmonté son traumatisme, au point d’en faire une force.

La résilience : comment développer ce super-pouvoir ?

Vous aimeriez faire preuve de résilience en toute circonstance ? Inutile de vous mentir : il n’y a pas de recette miracle. Les traumatismes sont différents et l’impact varie énormément selon les individus. Néanmoins, rassurez-vous : il est possible de développer sa capacité de résilience. Voici 3 conseils pour y arriver.

1. Prendre des initiatives au quotidien

La résilience n’est pas une capacité innée. Cependant, l’entraînement permet de développer des réflexes pour mieux rebondir. Ainsi, les personnes qui prennent des initiatives, qui se confrontent aux problématiques et qui sortent régulièrement de leur zone de confort sont plus aptes à surmonter les épreuves. Vous savez ce qu’il vous reste à faire pour renforcer votre résilience !

2. Adopter un état d’esprit de survivant

Il est extrêmement compliqué de rester positif après un choc émotionnel douloureux. Toutefois, il existe un élément sur lequel chacun peut travailler : sa perception des choses. Ainsi, après avoir subi un traumatisme, ne vous enfermez pas dans une position de victime. Regardez la situation sous un angle différent : vous êtes un survivant ! En gardant cet état esprit, vous transformerez progressivement votre douleur en rage de vaincre.

3. Faire appel à un tuteur de résilience

Vous peinez à développer votre résilience ? Faites appel à un professionnel ou demandez l’assistance d’un proche. Cette personne deviendra votre tuteur de résilience. Elle vous aidera à remonter la pente en vous écoutant, mais surtout en vous parlant honnêtement. Et pas uniquement en vous disant ce que vous avez envie d’entendre ! Par exemple, Alfred Pennyworth est le tuteur de résilience de Bruce Wayne depuis son enfance.

Faire preuve de résilience : le mot de la fin

Vous avez compris le concept de résilience ? Vous êtes prêt à développer ce super-pouvoir ? Excellent ! Pour conclure sur une note motivante, voici quelques exemples de personnes inspirantes  :

  • Walt Disney : au début de sa carrière, le créateur de Mickey a été viré pour manque d’imagination. Son premier studio d’animation a même fait faillite. Vous connaissez la suite !
  • J.K. Rowling : après le décès de sa maman, un premier mariage désastreux et une période de dépression, la célèbre romancière avait tout pour sombrer. Et pourtant, au lieu de renoncer, elle s’est servie de son expérience pour écrire son premier livre. Qui ne connaît pas Harry Potter aujourd’hui ?
  • Les sportifs handisport : Marie-Amélie Le Fur en athlétisme, Stéphane Houdet en tennis, Philippe Croizon avec ses défis extrêmes et bien d’autres encore : ils ont tous démontré une capacité de résilience incroyable pour surmonter leur condition et devenir de grands champions.

Enfin, plusieurs super-héros du quotidien ont réussi à faire preuve de résilience pendant la pandémie de coronavirus en 2020. Il y a les personnes qui ont été impactées directement par la maladie, celles qui se sont battues sur le terrain contre le virus, mais également les professionnels qui ont su se réinventer pour rebondir. Bref, une flopée de résilients exceptionnels !

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Atteindre le bonheur : les 3 grandes questions à se poser

Atteindre le bonheur : les 3 grandes questions à se poser

Vous désirez atteindre le bonheur ? Bien sûr que oui ! Qui ne souhaite pas ressentir cette sensation de plénitude absolue ? Personne n’ambitionne d’être malheureux sur Terre. C’est une évidence ! Aujourd’hui, de nombreuses techniques existent pour apprendre à trouver le bonheur. Néanmoins, ce n’est pas la vocation de cet article. Ici, l’objectif est de vous amener à réfléchir, de vous donner les clés pour ne pas vous perdre en chemin. En effet, lorsque nous parlons du bonheur, nous avons tendance à nous focaliser sur la finalité. Nous rêvons, nous nous projetons, nous idéalisons, mais nous oublions parfois que la route est longue. Qu’est-ce que le bonheur ? Que suis-je prêt à sacrifier pour l’atteindre ? Y a-t-il une fin à sa quête ? Voici les 3 questions auxquelles vous devrez répondre pour mener une vie heureuse.

1. Qu’est-ce que le bonheur ?

Selon Le Robert, le bonheur se résume en quatre petits mots : « État de pleine satisfaction ». C’est assez étonnant pour une notion aussi complexe, mais essayons tout de même d’analyser cette définition.

Pour commencer, qu’est-ce que la pleine satisfaction ? Eh bien, c’est un sentiment d’accomplissement qui peut se caractériser de différentes manières :

  • obtenir tout ce que l’on souhaite ;
  • réaliser l’ensemble ses rêves ;
  • satisfaire entièrement ses ambitions ;
  • répondre à chacune de ses aspirations ;
  • trouver son équilibre ;
  • être totalement épanouie ;
  • vivre en parfaite harmonie ;
  • etc.

La liste est encore longue, mais inutile d’aller plus loin. Vous l’aurez sûrement compris, toutes ces idées se rejoignent sur un point : celui d’être comblé de manière stable et durable. Ce serait donc ça atteindre le bonheur ? Au sens large, oui ! Dans les faits, c’est un peu plus compliqué.

Avez-vous la même conception du bonheur que votre voisin ? Probablement pas ! Vos désirs, vos ambitions, vos aspirations, vos rêves sont personnels et non universels. Que ce soit en matière d’amour, de famille, d’argent, de confort, de bien-être, de style de vie ou dans n’importe quel autre domaine : vous êtes le seul à pouvoir déterminer les éléments qui vous apporteront une pleine satisfaction.

Généralement, cela va dépendre de votre éducation, de votre histoire, de vos expériences, de vos passions, mais également de votre manière d’appréhender la vie. Finalement, la vérité est la suivante : il y a autant de définitions du bonheur qu’il y a de personnes dans le monde. À vous de trouver la vôtre !

2. Que suis-je prêt à sacrifier pour atteindre le bonheur ?

Une vie de famille épanouie, une santé optimale, un corps d’athlète, un job de rêve, la liberté de voyager, etc. : peu importe votre conception du bonheur, vous n’aurez sûrement aucun mal à la définir. Évidemment, vous pouvez être indécis. Votre vision n’est pas forcément très claire. Mais, en prenant le temps de réfléchir, en puisant au fond de vous-même, vous saurez rapidement déterminer ce qui vous rend heureux ou malheureux.

Par contre, si maintenant, on vous demande de citer les sacrifices que vous êtes prêt à endurer pour atteindre le bonheur, vous risquez de coincer. Eh oui ! Tout le monde veut vivre heureux, mais personne n’est là pour nous dire qu’il y a un prix à payer. Nous sommes constamment assaillis de messages qui nous laissent penser que tout est possible, sans fournir le moindre effort. Les slogans du type « perdez facilement 10 kg en quelques semaines » sont légion. Et pourtant, soyons clairs : tout cela n’est que du pur fantasme !

En réalité, pour perdre du poids, vous devrez modifier vos habitudes alimentaires. Et pas qu’un peu : au revoir les pâtisseries et les pizzas, bienvenue les fruits et les légumes ! Mais ce n’est pas tout, il faudra aussi réduire votre temps passé sur Netflix pour vous imposer des séances de sport régulières.

Vous voyez, on est très loin de la promesse d’une ballade de santé. Le bonheur ne se manifeste pas en claquant des doigts. Il ne s’achète pas non plus. Au contraire, il faut se donner les moyens de l’atteindre. Alors, qu’êtes-vous prêt à sacrifier sur le chemin ? Voilà la vraie question à se poser !

3. La quête du bonheur a-t-elle une fin ?

Lorsque nous obtenons ce que nous souhaitons, nous récoltons le fruit de nos efforts et de nos sacrifices. Ce moment de pur bonheur nous procure une joie et un plaisir intense. Cependant, atteindre le bonheur signifie-t-il devenir heureux pour toujours ? Inutile de faire durer le suspense : la réponse est non ! C’est une quête perpétuelle. Vous vous demandez pourquoi ? Voici l’explication.

Comme nous l’avons vu précédemment, le bonheur se caractérise par un état de pleine satisfaction. C’est l’accomplissement total de toutes nos aspirations. Par conséquent, s’il y avait une limite, cela signifierait paradoxalement que nous n’aurions plus de rêves et plus de désirs une fois que ces derniers seraient atteints. Or, c’est impossible ! L’être humain n’est jamais rassasié.

Dès que l’euphorie du bonheur est passée, la magie et l’excitation s’estompent un peu. Nous sommes toujours heureux, mais nous nous habituons à la situation. Elle devient normale. Pour faire face, nous commençons alors par nourrir de nouvelles ambitions. Nos rêves évoluent et nous nous lançons dans d’autres projets. Ainsi, la quête du bonheur continue !

Par exemple, imaginons que vous ayez grandi en espérant devenir sportif de haut niveau. Grâce à votre travail, vous parvenez à percer en professionnel. Après toutes ces années, c’est le plus grand moment de votre vie. Mais voilà, que faire une fois ce bonheur atteint ? La réponse : vous voulez devenir champion de France ! Et après ? Champion d’Europe ! Et après ? Champion du monde ! Vous comprenez l’idée ? Le bonheur n’a aucune limite. Pour être heureux, il faut donc apprendre à savourer chaque instant du chemin qui nous mène vers lui.

Atteindre le bonheur : ce qu’il faut retenir

Ça y est, nous arrivons à la fin. Vous savez désormais comment maintenir le cap pour ne pas vous perdre sur la route du bonheur. En guise de conclusion, voici un rappel des 5 points essentiels à retenir :

  1. Au sens large, le bonheur se définit comme un état de pleine satisfaction.
  2. Dans les faits, chaque individu à sa propre conception du bonheur
  3. Atteindre le bonheur nécessite de vrais sacrifices ;
  4. La quête du bonheur absolu n’a aucune limite ;
  5. Il faut savourer pleinement le chemin vers le bonheur.

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Deux étapes pour sortir du brouillard

Deux étapes pour sortir du brouillard

Lorsque je parle de brouillard, je parle du brouillard professionnel qui peut être la perte de sens, la perte de motivation mais aussi peut-être le brouillard personnel. Ce moment de notre vie, à titre familial ou affectif, où l’on est dans la plus grande opacité et l’on a l’impression de plus savoir dans quelle direction avancer. 

Pour sortir du brouillard, il y a deux étapes importantes à franchir, un peu comme on ferait en montagne lorsqu’on est pris dans le brouillard.

La première chose à faire c’est de s’arrêter pour changer d’équipement, pour remonter notre zip, pour vérifier que tout est d’équerre. De la même manière dans notre vie personnelle ou professionnelle, quand on est pris dans le brouillard, il faut s’arrêter un instant et se remettre dans les rails, s’assurer qu’on a la ressource physique, mentale et émotionnelle. Se mettre quelque temps à l’abri pour pouvoir repartir et passez à la deuxième étape, la mise en mouvement !  En effet, plus on est pris dans le brouillard, plus il va falloir se mettre en mouvement pour en sortir. Alors oui, on pourrait attendre mais l’on risque aussi d’être pris par la nuit et là les choses vont devenir beaucoup plus compliquées.

Se mettre en mouvement en montagne c’est facile, il suffit de descendre. Mais quand il s’agit de la vie de tous les jours ? Dans la vie de tous les jours,  il faut avancer et vous et même si le risque de tomber dans une crevasse existe, dites-vous bien qu’en avançant prudemment ou n’aura toujours l’occasion de changer de direction. Plutôt que de s’inquiéter de tomber dans une crevasse, on peut aussi se poser la question de savoir qui est déjà passé par là avant nous. En montagne, on a les pisteurs qui ont déposés des balises et des piquets,  empruntez le chemin des autres. Pour emprunter le chemin des autres, il va falloir s’ouvrir aux autres ; dans l’adversité, on est toujours trop mal accompagné, ouvrez-vous aux autres et vous verrez que des personnes sont passées par les mêmes difficultés que vous. Qu’ils ont vécu le même brouillard professionnel ou personnel. Ces personnes vont pouvoir vous apporter leur connaissances, leurs expériences, voir leurs conseils.

 

Pour résumer, deux étapes importantes à respecter: 

– S’arrêter un instant, s’assurer que l’on a les ressources suffisantes. 

– Se mettre en mouvement, avancer, s’ouvrir aux autres et prendre le chemin des autres. 

A vous d’agir ! Comment allez-vous vous remettre d’équerre ? Qui est passé par là avant vous ? Qui allez-vous solliciter pour trouver des solutions ?

 

 

S’autoriser la victoire

S’autoriser la victoire

Aujourd’hui cette article pour s’autoriser la victoire parce que gagner ça s’autorise, devenir le numéro 1, la numéro 1, atteindre la plus haute marche du podium ou le poste que tout le monde convoite et ça s’autorise !

Souvent l’un des freins premiers est la peine : la peine que peut engendrer la victoire. Je vous donne cet exemple de ce jeune joueur qui venait de remporter avec son équipe un tournoi très relevé et avant même de récupérer la coupe et la médaille je l’entends dire : « j’ai de la peine pour les autres ». Je lui réponds : « Tu te rends compte que tu es en train d’associer la victoire à de la peine avant même de célébrer ta joie et celle de ton équipe ! ». C’est un très bon moyen de s’empêcher de réussir. 

Le deuxième moyen de s’empêcher de réussir, c’est d’associer la victoire au mépris. Qu’est-ce que vous pensez des gens qui réussissent ? Si vous trouvez qu’ils en font trop, qui le disent trop fort, qu’ils peuvent être prétentieux voir désagréables. Il y a de très fortes chances que vous pensiez que les gens qui vous verront gagner pensent la même chose de vous.

Le troisième moyen de s’empêcher de réussir, c’est souvent la crainte que la victoire fait peser sur nous. Devenir le numéro 1, ou la numéro 1, l’homme ou la femme à abattre, qu’est-ce que ça implique ? Qu’est-ce que ça engage ? Quelles sont les conséquences d’obtenir ce poste que tout le monde visait ? Sur ma vie de famille ? Sur ma vie personnelle ? Sur ma liberté de pensée ? Pour toutes ces raisons on peut être tenté aussi d’échouer… 

 

Alors pour lutter contre ça, pour vous autoriser à la victoire, il faut que vous célébriez la victoire. Rendez-vous compte que les victoires finalement c’est plaisant. Il faut vous obliger à ressentir le plaisir et le bonheur de la victoire. Célébrez toutes les victoires, les petites les moyennes, les grandes victoires !!!

Maintenant que vous y voyez plus clair sur votre rapport à la victoire, c’est à vous d’agir !

Qu’est-ce que vous allez faire pour vous autoriser ?

Qu’est ce que vous allez célébrer ?

A qui allez-vous en parler ?

Quand est-ce que vous avez vous autoriser à dire combien vous êtes heureux de réussir ? 

Enjoy 😉